« Du pain et des jeux » au temps des Césars

Déjà, à l’époque, c’était pour obtenir la paix sociale. Nous voilà revenus 2 000 ans en arrièreJ’y ajouterai : « du pain, des jeux et des vacances ».

La flemme, je n’y crois pas un seul instant mais c’est notre corps qui ne répond plus à la demande. Aujourd’hui, on est fatigué avant d’avoir travaillé.

J’ai 83 ans, et j’ai mené quelques combats pour la liberté sociale et économique. Mais il ne peut y avoir de paix, d’économie et de social sans une bonne santé. Une bonne santé qui apportera la pleine forme dans la durée. Ce sera mon nouveau combat contre l’incrédulité, contre la cupidité et pour la santé.

Oui, je souhaite que l’on redonne au Français les moyens et l’envie de travailler et que l’on puisse profiter pleinement d’une vie plus longue avec une très longue retraite, en pleine forme, grâce à une productivité largement accrue par cette pleine forme.

On me dit que des enfants qui naissent aujourd’hui vivront jusque 90 ans, et moi je veux qu’ils vivent jusqu’à 150 ans, après une vie au travail pendant 85 à 90 ans.

Fini la vieillesse, fini la maladie, ou tout du moins les grandes maladies.

Illusion ? N’est-ce pas ? En êtes-vous si certain ? Moi, je suis sûr de ce que je propose en évitant de nous détruire bêtement et en évitant, et en régulant, les dérives des variations des pressions atmosphériques qui ont pour basse besogne de nous détruire.

Bien sûr, on s’y est habitué faute d’avoir cherché les causes. On vit « avec » comme si cela était une obligation. Mais que font donc les scientifiques ? Ils ont tendance à nous bourrer de médicaments qui, en fait, nous empoisonnent.

N’oubliez jamais que la nature a deux faces : une face nous fait vivre, l’autre face nous reprend la vie. Ce sont des forces assassines qui conduisent à la flemme et à la mort.

Alors, debout la France ! Faisons ce qui doit être fait, ou pour le moins, essayons-le : vous n’avez rien à perdre.

La raison doit l’emporter

Depuis un siècle, l’homme a perdu 50% de ses facultés physiques et intellectuelles.

La force, l’énergie, la découverte, l’innovation, ont petit à petit glissé vers une vie que l’on soigne en permanence.

Je ne critiquerai pas ceux qui soignent mais je condamne tous ceux qui n’ont pas voulu éviter d’avoir à soigner.

Le bon sens et l’évidence ont été remplacés par l’incrédulité, par la cupidité, par le laisser-aller et par l’absence du risque à prendre. La raison doit l’emporter par humilité, par simplicité. Le monopole de la nature doit être dompté.

On dit « je ne veux pas faire ce que mes parents ont fait ». Je veux bien, mais je pense que vos enfants diront la même chose ; si l’on ne réagit pas, on deviendra rien.

Bien sûr, il y aura toujours le risque de l’accident mais ce risque-là, c‘est vous qui ne l’aurez pas maîtrisé.

Ai-je perdu la raison où suis-je dans un nouveau monde où l’on brise les monopoles et régule les défauts de la nature ? Il faudra choisir.

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