Du coûte que coûte au goutte à goutte

D’un Pays des Lumières, nous voilà à la bougie. D’un pays qui trouve, nous voilà rendus à un pays qui ne cherche pas, et ce que l’on trouve n’est qu’une goutte dans l’océan.

La France dépense 800 milliards pour un social chaotique financé par le travail, ce qui met notre compétitivité hors-course.

Les Français veulent vivre en pleine forme et longtemps ; va-t-on y parvenir ? Oui, un nouveau monde sera créé à partir du 15 mai 2023.

Du  bluff, me direz-vous ?

Le 15 mai sortira d’usine de Mainvilliers, près de Chartres, un mécanisme qui sera le seul au monde à mettre fin aux ruptures de circulation du sang dans notre réseau de 40 000 km de microvaisseaux et pour chacun d’entre nous.

Ce mécanisme permettra de continuer à alimenter nos cellules en oxygène et  en nourriture.

Oui,  nos cellules respirent et se nourrissent ; sur ce point, tout le monde est au moins d’accord.

A partir du 15 mai prochain, le régulateur Hygée rentrera en guerre contre la cause des ruptures de circulation du sang dans tout le réseau des vaisseaux.

Personne, à ce jour,  n’a pris en compte la force de destruction des variations de pressions atmosphériques. Je propose simplement, par ce régulateur « Hygée », à rétablir la norme de pression de 1013 millibars supportable par le corps humain et ce, en permanence, le temps qu’il faut et dans un lieu choisi (chambre, bureau, salles d’écoles, etc).

Le réseau étant rétabli, la lumière le sera aussi.

Toutes les grandes maladies, sans exception, ont pour cause un problème de circulation du sang qui est vital. Ceci concerne :

  • les cancers

  • l’arthrose

  • les problèmes cardiovasculaires et cérébraux

  • la vieillesse

  • la sclérose en plaque

  • et beaucoup d’autres

  • sans oublier la perte de nos facultés, y compris, notre vue, notre ouïe et notre dextérité

Et l’on mettra fin à la perte de 1% de notre système immunitaire, chaque année

Il faut le conserver à 100% pour combattre virus et microbes.

 

Plus jamais …

Je ne veux plus entendre « je ne sais pas ». Je ne veux plus avoir à combattre l’incrédulité ; elle n’a plus raison d’être.

Connaître les causes et les solutions et ne pas appliquer la solution est une insulte à notre savoir, à notre intelligence qui est, aujourd’hui, utilisée à peine à 1/10ème de ses possibilités. Et nous n’avons rien fait pour éliminer ce qui la bride.

Non, on préfère l’atténuer plutôt que de la développer et pourquoi ?

Il  ne faut pas s’inquiéter d’une intelligence artificielle, surtout quand on aura rétabli la totalité de nos propres facultés.

L’intelligence artificielle restera un outil pour compléter l’intelligence humaine.

Ce n’est pas le cas aujourd’hui, l’intelligence artificielle est en train de dépasser l’intelligence humaine. Il faut y remédier urgemment et nous avons tout pour le faire aujourd’hui.

Les ruptures que j’annonce du fait des pressions atmosphériques sont aussi valables pour notre cerveau qu’on laisse se dessécher au cours des années, ce qui apparaît encore davantage car nos cellules, c’est une chose, nos cellules mémorielles, c’est encore autre chose, et les unes ne peuvent vivre sans les autres.

Notre cerveau n’est pas attaqué par la Russie mais tout simplement par notre environnement, non pas climatique mais à la suite des dérives des pressions atmosphériques.

A une force naturelle, j’ai opposé une force mécanique. Oui, dans notre corps, tout est mathématique et électrique.

Réguler doit être notre leitmotiv.

 

 

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