Depuis 10 ans, je traîne un cancer

Depuis dix ans, je traîne un cancer et comme je ne veux pas continuer à vivre avec, j’ai décidé de me guérir tout seul, faute d’un médical qui n’y arrive pas. Les médecins me disent : « je ne sais comment faire ». Mais quelle importance : j’ai encore besoin de vingt pour vivre et réaliser ce que je veux.

Alors ; il me fallait trouver la solution et la cause de mon mal. C’est par le constat et par mon métier que je j’ai trouvé la cause et j’ai trouvé en même temps la solution que  j’applique à moi-même.

Bien sûr que j’utilise des médicaments pour éviter toute infection et ne pas arriver à la phase finale d’un cancer. Evidemment, on peut vivre longtemps avec un cancer mais dans quelles conditions ? Je suis étonné que le bon sens, au sein du corps médical, ne parvienne pas à utiliser la nature avec ses antidotes : un problème naturel ne peut être résolu que par le naturel.

Maintenir une vie d’une manière artificielle, c’est une lâcheté qu’on n’a même pas essayé de résoudre. Je me suis attaché à résoudre ce problème. Je me suis aperçu, de par mon métier, qu’il y avait trois à quatre fois plus de décès quand les pressions atmosphériques étaient fortes, aux alentours de 1040 millibars. Il y a probablement d’autres facteurs, mais celui-là est déterminant car la surpression atmosphérique est la cause de tous les cancers. Un rêve de Michel Leclerc ? Dans ma vie, je n’ai pas de place pour le rêve.

J’ai consulté pas mal de médecins mais il n’y en a pas un seul qui m’ait parlé d’éradiquer ma maladie et, chaque fois, on ajoutait un médicament. La cause des problèmes est-elle si difficile à chercher ou ne veut-on pas la chercher ? Les médicaments, c’est bien, mais ça vous tue petit à petit, en douceur.

Réguler les excès de pressions atmosphériques mettra fin au cancer à condition de s’y prendre depuis la naissance.

On pose toujours la même question : « comment allez-vous », on ne dit jamais « en quelle forme êtes-vous ? ». Il n’y a pas un seul d’entre nous qui n’ait pas un cancer en construction. Les médecins vous diront : « nous sommes là pour soigner »… et chercher alors ? C’est défendu ?

Les fabricants de médicaments tuent plus de gens qu’ils n’en soignent et ils se servent souvent des vivants comme cobayes. En tout cas, sachez bien, que si vaccins il y a, je ne servirai pas de cobaye !

Ils ne sont pas nombreux autour de moi pour mettre à genou nos maux. Notre santé est un prêt du ciel, il nous faut le garder précieusement. A chaque fois qu’il y a un problème, il faut en chercher la cause et c’est simplement pour ne pas avoir voulu reconnaître la cause, que l’on perd la santé. Il en est de même en économie : ne pas vouloir reconnaître la cause, c’est entraîner la mort de notre économie. Y aura-t-il un jour un homme assez sage pour se poser la question

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