Demain, le social fera la loi dans la rue

Prévoir une économie forte avec une contestation permanente ne sera pas la solution.

Il faut que le président mette son joker sur la table et l’impose par des ordonnances.

Ce joker, c’est le financement du social quoi qu’il en coûte en redonnant au travail sa fierté, sa capacité, son ambition : un travail libéré de toutes ses charges. Ce n’est pas une guerre de chars, c’est une guerre économique que nous impose la mondialisation.

Il faut donner immédiatement à notre économie de l’oxygène pour la réanimer. Nous en avons pris l’habitude, n’est-ce pas, avec les virus !

Les exportations deviendront le fer de lance de notre production. Avec un nouveau pouvoir d’achat, la consommation intérieure sera un atout déterminant. L’industrie, l’agriculture, le luxe, devront reprendre leur place avec ceux qui ont été contraints de quitter le France. Ce n’est pas une amnistie que je demande, ce sont l’application de solutions.

Après la guerre de 39-45, le Général de Gaulle a pris des décisions fortes.

Il faut à nouveau des décisions fortes réactualisées avec la mondialisation.

La France, avec sa nouvelle étoile, pourra discuter avec l’étranger, avec ceux qui ont toujours importé des produits français. Que ce soit du champagne, que ce soit du foie gras, que ce soit nos produits agricoles, que ce soient nos avions ou nos trains à grande vitesse, nous avons tout à gagner.

Le sanitaire devra être repeint avec des éléments nouveaux, avec la fin d’un monopole. La médecine est un métier comme les autres mais n’a rien de plus que les autres. Il faut la remettre à sa place. Elle devra travailler à rechercher les causes et les solutions. Est-ce trop demander ?

Je sais que je ne suis qu’un petit garçon. Le  bon sens et l’évidence doivent triompher et pas l’un après l’autre mais ensemble.

On ne fera pas revenir des investisseurs dans notre pays si on ne leur donne pas le pollen nécessaire.

Tout ceci pour qu’ils viennent butiner dans nos campagnes et dans nos zones industrielles. Là aussi ce sera quoi qu’il en coûte.

Le virus est en train de contourner les vaccins, il faudra lui barrer la route car notre économie en dépend. Et nous savons le faire !

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