Voici la courbe de la masse de l’oxygène (en bleu) en fonction de sa composition moléculaire qui varie selon sa température. En rouge, la puissance d’infection du Covid-19.
Nous constatons qu’à 35°C l’oxygène a perdu la moitié de sa masse, lui donnant une volatilité bien plus grande et une énergie cinétique bien plus importante. Cette volatilité – à cette température de 35/36°C – est multipliée par 4 (avec la formule 1/2 MV² – selon la loi de Graham d’effusion). Avec l’augmentation de la température c’est cette volatilité qui permet à l’oxygène de “brûler” le virus et de prendre sa place.
Chacun aura remarqué d’ailleurs qu’en été qu’il y a très peu d’infections pulmonaires. C’est ce principe de la volatilité de l’oxygène qui s’applique. C’est la raison qui fait que l’on respire bien mieux en été. L’air est bien plus léger. Pourtant, on ne retrouve dans cet air que 19% d’oxygène et 81% d’azote.
Vers 38°C, le virus devient inoffensif. A 60°C – comme dans un sauna très chaud – le virus meurt par nature en quelques minutes alors que la patient lui est toujours vivant !
Ce que l’on fait actuellement dans les hôpitaux
En faisant respirer aux patients avec un masque de l’oxygène à une température de 20°C, le Covid-19 est encore tout puissant dans les poumons, puisque l’oxygène est encore très loin de sa puissance naturelle. Il faut donc augmenter la température de cet oxygène pour lui donner de l’efficacité.
Ce qu’il faudrait faire dans les hôpitaux
L’oxygène chauffé vient se fixer sur les microcellules et particulièrement celles des poumons, ne laissant ainsi plus de place au virus. Même à 42°C l’effet est déjà maximal.
Le point G est le point de rupture de la puissance du virus face à l’oxygène. Le barrage à l’infection est dès lors constitué. C’est ce que doivent faire les hôpitaux de toute urgence.
Il serait aussi utile, aux personnes qui – chez elles – utilise des “lunettes à oxygène” (illustration), d’utiliser des systèmes de réchauffage de l’oxygène inhalé pour augmenter la saturation en oxygène normale en visant les 95% et 100% de SpO2 (Saturation pulsée mesurée avec un oxymètre de pouls). Pour chauffer l’oxygène, la tuyauterie peut simplement entourer en trois spires un radiateur d’appoint allumé. A défaut, montez la température de la chambre à 42°C pour chauffer l’oxygène que vous respirez et vous éloignerez les risques du virus !
Le corps fait de même naturellement pour se débarrasser des infections, en prenant de la fièvre.