Comme prévu, les Russes reculent

Oui, l’armée russe recule et reculera jusqu’à ses frontières, certainement grâce au courage des soldats ukrainiens et peut-être aussi grâce aux canons César et aux orgues américaines, lanceurs à grande portée.

La technologie européenne et américaine va changer la donne ; les Ukrainiens se battent avec leur cœur et la volonté de rester libre. Les Russes n’ont aucune motivation de se battre en Ukraine si ce n’est la volonté de Monsieur Poutine de mettre les forces de l’OTAN à l’épreuve.

Quelle que soit la décision de Monsieur Poutine sur le nucléaire, il doit savoir qu’il sera plus facile à l’OTAN de réduire en cendres Moscou et quelques villes russes qu’à l’Armée Rouge d’atteindre plus de cent villes européennes et américaines. La Russie, c’est une dizaine de villes  importantes, les pays de l’OTAN, c’est cent fois plus : il n’y a pas photo.

Poutine est peut-être un fou mais un fou qui veut protéger sa propre personne ; il  n’est pas aussi courageux qu’on veuille bien le dire et l’armée russe se bat avec des canons et du matériel de la dernière guerre.

De toute manière, avec ou sans la guerre en Ukraine, la menace restera la même. L’Ukraine aura souffert dans sa chair ; il faudra l’accepter en Europe comme un modèle de mère-courage.

 

Il n’est pas nécessaire d’être médecin

Il n’est pas nécessaire d’être médecin ou chirurgien pour constater et chercher les causes des maladies qui nous pourrissent la vie et le moral.

Les médecins et les chirurgiens utilisent ce qu’on leur a appris pour exercer leur métier. Ils connaissent par cœur tous les médicaments et traitements qui leur permettent de soigner. En un mot : ils font leur travail avec les outils dont ils disposent et qui sont souvent mécaniques, électriques ou électroniques.

Mais tous ces outils et toutes ces connaissances ne s’attaquent pas aux causes, ils ne servent qu’à soigner.

L’homme est un produit de la nature : il faut chercher les causes dans la nature. Ce sont les causes qui vont engendrer les maladies, les pandémies. Et toutes ces causes proviennent de la nature.

Alors, le bon sens semble être d’aller chercher les causes en amont des maladies. Et c’est par des constats répétitifs, des phénomènes climatiques répétés, que l’on trouve les causes qui vont devoir être neutralisées ou régulées.

Ce sont tous des constats répétitifs qui m’ont conduit à déterminer la cause des cancers et l’existence des virus qui ne deviennent dangereux qu’au moment où ils sont prisonniers, au moment où on les a aspirés. Et comme tout animal en cage, ils deviennent furieux et dangereux. Ils vont, dès lors, se servir de tous leurs moyens de défense. C’est l’homme qui va à la recherche et qui aspire ce qui va le détruire. C’est la nature humaine et animale qui va au-devant du mal.

Oui, vous trouverez ci-après les constats qui m’ont conduit aux causes des cancers et des virus, et mes solutions.

Pour les cancers, ce sont les pressions atmosphériques qui y conduisent par défaut d’oxygène dans les cellules qui vont mourir et se regrouper en grande quantité dans les organes filtreurs, faute de ne pas avoir été mangées par les macrophages. La solution est de vivre quelques heures par jour à desserrer l’étau par une régulation mécanique quand les variations dépassent les 1013 millibars.

Pour les virus, qui sont totalement naturels, ce sont nous qui les respirons et les faisons prisonniers dans nos voies respiratoires et nos poumons. Ils vont se défendre et produire l’irréparable que notre système immunitaire défaillant ne pourra combattre. Et plus le système immunitaire est affaibli, plus vite le combat sera perdu. Bien sûr, on essaie d’injecter des anticorps pour pallier la défaillance de notre système immunitaire mais parfois en vain.

La seule solution crédible est d’éradiquer le virus avant qu’il n’atteigne l’homme, avant que vous ne le respiriez, que ce soit chez vous, au bureau, au supermarché, ou encore dans tous les locaux clos. Et en hiver, il se trouve dans l’atmosphère où il se multiplie à une vitesse folle, au froid et à l’humidité.

Ceci est d’autant plus vrai que nos chercheurs ou nos prétendus scientifiques n’ont rien trouvé de mieux que de dire d’ouvrir les fenêtres dix minutes par heure pour que le virus puisse s’en aller … vers notre voisin. Acceptez au moins le ridicule de cette solution.

Alors, la seule solution crédible est de faire projeter les virus sur un mur de feu grâce à un simple radiateur d’appoint soufflant et à résistance visible. La deuxième, en hiver, est de suppléer les rayons ultraviolets du soleil qui, comme vous le constatez, ralentit la pandémie d’une manière très importante, pendant l’été.

 

Voici les constats que je vous énonçais plus haut :

  • Les décès, dans notre pays, se produisent à 80% en pression atmosphérique élevée ou trop basse
  • En montagne, à une altitude 1 000 mètres, ce qui réduit la pression d’autant, il y a très peu de cancers
  • Il existe des villes entières qui se sont construites à 1 000 ou 1 500 mètres d’altitude, les cancers y sont rares
  • Les accouchements naturels sont plus nombreux en surpression atmosphérique qu’à 1013 millibars qui est la pression au niveau de la mer
  • Notre système immunitaire se réduit de 1% par an, ce qui explique la mortalité plus importante, pour cas de COVID, au-delà de 60 ou 70 ans
  • Nous constatons le peu de cas de COVID dans les zones chaudes et sèches, de part et d’autre de l’Équateur
  • On dort mal en très haute pression atmosphérique, on est agité
  • Pas un seul virus ne résiste au travers d’un mur de feu qui peut être un simple radiateur d’appoint soufflant et à résistance visible, pas plus, d’ailleurs, qu’il ne résiste aux rayons ultraviolets (= soleil)
  • L’homme se plaît à se détruire en se dénudant au soleil et nous constatons que les hommes du désert se couvrent le plus possible de vêtements blancs ou bleus qui, tous deux, réfléchissent les rayons ultraviolets.

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