La pandémie devrait durer jusqu’à l’été prochain, nous dit-on. Et pourquoi ? L’été aurait-il la solution ?
Cette information entraîne l’acceptation que le soleil peut éradiquer le virus. Autrement, pourquoi parler d’été ?
Cette réflexion est l’échec et l’abandon de gagner la guerre faute d’armes qui nous viendraient du ciel. Nous sommes un pays de progrès, d’innovations, de découvertes. On nous dit être le pays des Lumières et l’on a baissé les bras face à la pandémie.
Ce sera donc jusqu’à Pâques ou à la Trinité que durerait cette pandémie. Non, je m’y refuse et si j’avais le moyen de le financer, j’offrirais à tous les Français une lampe à ultraviolets. Le problème, c’est qu’il n’y en aurait pas assez !… et le virus pourra continuer à circuler.
Il ne suffit pas de dire que le virus circule et d’attendre que l’accident de la route le paralyse par collision entre deux personnes.
C’est impensable : on a signé l’armistice et on attend le hasard ou une force inconnue pour nous sauver. Cette position devrait nous rappeler de mauvais moments qui ont duré cinq ans…
Réfléchissons ensemble. Mettons sur la table tous les éléments et actions possibles. Choisissons nos armes pour organiser la résistance. Et des armes, nous n’en avions pas en 1940 alors qu’aujourd’hui, elles sont multiples. La science peut aider mais le dicton « aide-toi et le ciel t’aidera » est tout aussi vrai.
Le soleil, le ciel d’été, ce sera dans huit mois. Je sais, cela ne fait pas cinq ans à attendre mais va-t-on arrêter de se contredire pour faire l’unité face à la guerre de la COVID-19. N’attendons pas un hypothétique vaccin.
La France est en difficulté économique. Ne détruisons pas notre beau pays.