Attention de ne pas imposer 18 degrés dans les lieux de vie

Réduire la température des espaces de vie au-dessous de 20° risque fort de favoriser un développement rapide des conséquences du COVID et ce, dès le mois d’octobre.

Il faut être prudent avant de prendre une telle décision. Faire des économies dans les lieux de vie, c’est économiser des bouts de chandelle.

Personne ne manquera d’électricité, ni de gaz, cet hiver. Et si coupure il y avait, ce ne serait que des coupures politiques et non indispensables. Il faut arrêter de nous faire peur pour nous faire avaler l’inflation. La peur ne conduit jamais à un résultat positif car la peur n’est pas quantifiable mais elle peut conduire à un suicide collectif.

Les vents du nord nous donnent aujourd’hui les nuits fraîches que l’on apprécie et ces mêmes vents du nord qui repoussent le Gulf Stream, deviendront un enfer cet hiver et favoriseront le COVID.

Pour information : de zéro à 10°, le COVID se multiplie très rapidement. De 10 à 20°, il développe sa grande activité. Au-dessus de 20°, il décline pour mourir entre 45 et 50°.

Pendant tout cet été, les rayons ultraviolets du soleil ont été efficaces mais demain, ils n’auront plus d’activité.

Il ne faut pas prendre des mesures à la légère d’autant plus qu’on n’a rien fait pour éradiquer ce virus, pourtant de façon si simple avec un radiateur soufflant ou une lampe à ultraviolets comparables à ceux du soleil.

 

Les prisons

Oui, il vaut mieux en faire une cour de récréation qu’un bouillon de culture dans les cellules desquelles les prisonniers ressortiront plus mauvais qu’ils n’y sont rentrés.

Pour une fois qu’un directeur de prison a compris le problème, il faudrait plutôt lui donner la légion d’Honneur que de l’accuser à son tour.

Les prisons sont des espaces de privation de liberté, ce ne sont pas les travaux forcés à perpétuité. Les prisons actuelles ne font que cultiver la vengeance et je dirai même que c’est l’école du délit.

Occuper les prisonniers à des moments de distraction, souvent bien préparés en amont, est une excellente idée. Que l’opinion publique ou pas en soit d’accord, c’est pourtant la vérité. Ce qui est important, c’est le résultat à la sortie.

La décision qui a été prise par ce directeur de prison est, à mon avis, un bon chemin qui ne nécessitait pas autant de médiatisation.

Nos prisons n’ont rien de comparable avec celles d’autres pays où tout est fait pour éviter toute récidive.

L’organisation des Droits de l’Homme a d’ailleurs condamné la France à ce sujet. La position des parties civiles ne sera jamais résolue dans la situation actuelle des prisons.

Rappelons quand-même que la prison est un espace de privation de liberté, il n’est pas nécessaire d’en faire une dégradation de l’être humain.

 

 

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