Les mathématiques sous toutes leurs formes

Les mathématiques permettent de rendre forme à l’invisible et d’en déterminer la puissance.

Les mathématiques ont permis de déterminer la puissance de la matière : E = MC 2.

Les mathématiques ont permis de déceler les atomes et leur puissance. Elles ont permis de se rapprocher de l’infiniment grand et de l’infiniment petit. Elles ont permis de rapprocher l’abstrait du concret.

Elles ont permis de calculer la puissance en mouvement de l’air et de son poids sur l’homme,

non pas seulement sur ses épaules mais sur la totalité du corps, force invisible mais bien présente.

  • Et ce sont les dérives de cette force qui m’a permis d’en déduire les conséquences mathématiques sur le fonctionnement circulatoire dans notre corps.
  • Et l’on découvre que par ces dérives, notre propre circulation du sang dans notre corps, est bloquée dans nos 40 000 km de micro vaisseaux.
  • Et, comme dans tout réseau, un blocage, quel qu’il soit, entraîne de lourdes conséquences.

Pour ce qui est de notre corps, la fermeture du réseau circulatoire va entraîner de multiples maladies en privant nos cellules d’oxygène et de nourriture.

Ce sont aussi les mathématiques qui m’ont permis de trouver la solution en desserrant l’étau, le garrot, et qui permet le retour à une circulation normale du sang.

C’est le seul mécanisme au monde qui vous permettra d’éviter une construction désastreuse du cancer et l’apparition d’une liste non exhaustive de maladies.

Ce seront encore les mathématiques qui nous permettront d’aller à la recherche des causes des maladies orphelines. En fait, notre corps n’est que mathématique et bien loin des laboratoires.

Qu’est-ce que l’environnement ?

L’environnement, c’est tout ce qui existe autour de soi à un moment donné, sur un continent donné.

Pour l’homme, l’environnement peut être très proche ou très éloigné. En ce qui concerne ce qui est très proche, c’est l’air et son contenu que nous respirons, c’est l’oxygène de l’air qui nous fait vivre, c’est aussi le poids de l’air qui varie de 960 à 1050 millibars.

Cette variation entraîne la vie et la mort de l’homme. La vie possède  une règle et toute dérive est vitale. C’est ainsi que la température interne du corps est de 37° : toute dérive, de part et d’autre peut entraîner la mort.

Il en est de même pour les pressions atmosphériques. La norme est de 1013 millibars, toute dérive entraîne un problème vital. Si l’on ne comprend pas cela, on ne comprendra jamais ce qu’est la vie.

Nos cellules sont des êtres vivants ; elles constituent notre corps, que ce soit la chair ou les os. Entraver la circulation du sang, dans l’un comme dans l’autre, et nous voilà dans des situations catastrophiques, voire vitales.

L’environnement n’est pas seulement le problème chimique que l’on rabâche tout le temps,

mais un problème de dérives des déserts qui forment ce que l’on appelle le réchauffement climatique.

Là aussi, il faudra réguler en redonnant vie aux déserts.

Ma seule découverte est d’avoir trouvé la cause considérable de nos malheurs, une cause vitale,

et d’en avoir résolu le problème par un mécanisme qui rétablira la règle.

S’il est déjà trop tard pour ceux qui sont morts, il n’est jamais trop tôt pour vivre longtemps, en pleine forme.

Il n’est pas question pour moi de changer la nature mais de s’y adapter comme on l’a fait pour le chaud et pour le froid. Rien de plus, rien de moins.

 

 

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