Selon l’OMS

Selon l’OMS, le COVID a fait 20 millions de morts dans le monde.

Combien y aura-t-il de mort du cancer, cette année ?

Il y en aura 25 millions.

Et tout cela provient du fait de ne pas avoir protégé son système immunitaire.

Aujourd’hui, nous perdons chaque année 1% de notre système immunitaire

et l’on s’étonne d’avoir autant de morts, sans avoir pris la moindre mesure préventive.

Il faut que l’on sache, une fois pour toute,

qu’à 50 ans, on ne possède plus que 50% de son système immunitaire.

Qu’a-t-on fait pour y apporter une solution ?

On n’y a pas pensé, me diront les médecins, les professeurs et les chirurgiens.

En fait, c’est tout le monde médical qui n’y a pas pensé.

Afin d’éviter qu’un tel désastre puisse se reproduire chaque année, il est urgent de réguler notre problème de circulation sanguine.

On évitera toutes les grandes maladies, on ne dégradera plus notre système immunitaire.

En fait, on meurt à 80 ans ou 100 ans quand on n’a plus de système immunitaire.

Et pourquoi le monde médical n’a pas pensé  que les variations des pressions atmosphériques sont un monstre qui veut reprendre notre vie ?

Plus grave encore, ce sont aussi ces variations qui tuent nos cellules qui, à leur tour, vont émettre des substances toxiques et délétères qui seront la cause des cancers.

Les cancers, l’arthrose, la maladie d’Alzheimer, de Parkinson, de Charcot, mais aussi la sclérose en plaque, et encore plus grave, la vieillesse, sont les conséquences des variations de pressions atmosphériques. Comment cela a-t-il pu échapper au monde médical ?

L’OMS n’a jamais pensé qu’on pouvait y remédier.

Pourquoi ?

Il est vrai qu’éviter coûte bien moins cher que de remédier…

De nombreux médecins ou chercheurs ont exprimé les conséquences de la mort des cellules mais personne n’a imaginé que l’origine de la mort des cellules pouvait provenir d’un phénomène naturel ou, plus exactement, des variations d’un phénomène naturel.

Réguler ces variations comme on régule le chaud et le froid,

est d’une simplicité à nulle autre pareille.

De toute façon, c’est toujours ainsi pour une découverte : elle devient une évidence

Je voudrais que l’année qui vient puisse être l’année de la vie et de sa protection.

Découvrir, c’est bien, apporter la solution, c’est mieux

On me dira, une fois encore, que  c’était évident tout ce que je dis.

Peut-être.

Faire confiance est honorable,

contrôler la confiance,

c’est plus rassurant.

Soigner, c’est bien, éviter d’avoir à soigner, c’est encore beaucoup mieux et moins coûteux,

et beaucoup plus rentable pour notre économie.

Quand j’étais à mon école d’ingénieur, j’ai appris que faire simple était beaucoup plus difficile que de faire compliqué.

On aurait pu penser le contraire. Convaincre, aujourd’hui, c’est usant et c’est une perte de temps.

Et pourtant, c’est ce qui va se passer.

Je veux réduire le nombre de morts par an, en France, de moitié et peut-être beaucoup moins,

tout du moins pour les 50 ans à venir.

Ceux qui décident, aujourd’hui, ont déjà perdu 40 à 50% de leurs facultés physiques et intellectuelles.

Ne faudrait-il pas mettre à la tête du Ministère de la Santé de très jeunes décideurs ?

Nos jeunes veulent vivre.

N’attendons pas qu’ils n’en aient plus les moyens.

Depuis 100 ans, notre santé a progressé à petits pas par notre manière de vivre

mais aussi par quelques chercheurs qui ont permis de soigner et de prolonger la vie ;

mais c’est toujours du bricolage.

On a oublié l’essentiel.

Et pourquoi ?

Nos jeunes veulent un futur éblouissant.

Nos dirigeants actuels n’éblouissent plus personne.

Ne perdons pas un temps précieux et n’acceptons plus les souffrances inutiles.

 

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