1 000 milliards d’euros

Monsieur le Président, vous nous avez annoncé, dans votre dernière allocution, un coût de 500 milliards, pour la Covid-19. Monsieur le Président, je crois qu’en multipliant par deux ce montant, d’ici le mois de janvier de l’année prochaine, je serais beaucoup plus près de la vérité.

Ce budget de 1 000 milliards, c’est presque 4 fois le budget de la Sécurité Sociale, chaque année et c’est 2 fois le budget de la Sécurité Sociale plus les retraites.

Ne croyez-vous pas, Monsieur le Président, qu’il est temps de voir la vérité en face ? On n’a pas fait ce qu’il fallait pour éviter le confinement et le déconfinement qui ont coûté très cher. Ne pensez-vous pas qu’il serait temps de transformer ou de transférer le budget de la Sécurité Sociale sur le budget de l’Etat, dans sa totalité. ?

Ne pensez-vous pas, Monsieur le Président, qu’il est temps de ne plus écouter les scientifiques mais d’imposer la prévention nécessaire et les protocoles indispensables, pour soigner ?

L’heure n’est pas aux lamentations ni aux excuses. L’heure est de redonner à la France ses moyens de vivre, un pouvoir d’achat raisonnable, une production et une productivité à la hauteur de nos ambitions.

Nous ne pourrons pas éternellement, Monsieur le Président, accroître notre déficit même si l’on fait une magouille au niveau de la Banque Européenne.

Les entreprises, les entrepreneurs, ne cherchent pas une aumône, ils ne veulent pas d’aumône, ils veulent une solution à leurs problèmes.

Certes, le PIB est aujourd’hui à 125%, il faut le ramener à 80 minimum. Le chômage sera à 11 ou 12 % des actifs. Il faut remettre tout le monde au travail.

Le taux de croissance va être négatif, cette année, de près de 10 %. Il faut qu’il revienne à plus 5 %.

Ne nous mettons pas au niveau de l’esprit des scientifiques qui, aujourd’hui, mettent leur savoir au service de l’argent, un savoir, une recherche qui ne trouve pas. Vous ne pouvez pas suivre ce chemin, Monsieur le Président. La France est notre patrie, nous entendons la défendre : aidez-nous !

Il n’y aura pas de solution sans transformer le financement de la Sécurité Sociale et des retraites, par un transfert sur le budget de l’Etat.

Il n’y aura pas de rebond de l’économie sans bousculer le médical, sans supprimer son esprit de monopole et son esprit de dictature. Notre vie vaut mieux que cela.

 Demander aux Français de travailler plus pour produire plus n’est pas le bon chemin. Ils travailleront plus quand ils pourront produire plus, en pleine forme et sans fatigue supplémentaire. Il faut supprimer les risques de maladies, de cancers, de virus, et nous savons le faire. Alors, pourquoi ne le fait-on pas ?  Est-ce simplement pour ne pas vexer les médecins parce qu’ils n’en ont pas trouvé la cause ni la solution ? Mais la vie ne leur appartient pas et ils ont failli à leur devoir et ils ont failli au serment d’Hippocrate.

Mais vous, Monsieur le Président, vous savez ce qu’il faut faire, pourquoi ne le faites-vous pas ? Ecoutez peut-être la voix de ceux qui trouvent et qui appliquent l’évidence.

Il en sera de même, Monsieur le Président, que pour financer le budget de la Sécurité Sociale que vous aurez transféré sur l’Etat, il sera nécessaire d’augmenter la TVA et la CSG ; il ne s’agira pas d’impôts supplémentaires mais d’un impôt de solidarité.  C’est ce que l’on appelle la TVA sociale.

Tout ceci vous paraît étonnant : que l’on puisse faire baisser les prix, accroître le pouvoir d’achat, accroître la production et la productivité. Oui, le supplément de TVA que je vous demande et que j’appelle la TVA sociale, sera l’outil pour arriver aux résultats que je vous annonce, même si cela vous paraît étonnant.

 Ce que je vous propose en plus, c’est de supprimer le chômage parce qu’il y aura du travail pour tous. Ce que je vous propose, c’est de supprimer toutes les grandes maladies ou autres qui plombent la production et la productivité.

Sachez tout de même que ce que je vous propose entraînera des économies massives du secteur de la santé. Alors, soyons réalistes et ne prenons pas de demi-mesures qui ne résoudront rien.

Monsieur le président, soyez le de Gaulle d’un nouveau monde, prospère, en pleine forme, en prolongeant la vie. Quelle réussite, quelle aura. Vous resterez dans l’Histoire, l’homme qui a sauvé la France de la faillite et du bien-être.

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