Un pouvoir d’achat à crédit

Pourquoi un quinquennat sans pouvoir d’achat ?

En tenant compte de la progression de la dette, le pouvoir d’achat a baissé. En fait, c’est un pouvoir d’achat à crédit que l’on impose. Un peu facile mais pas réaliste. On aurait pu imaginer mieux de la part de ce gouvernement qui, en fait, a modifié les statuts du droit du travail mais sans travail à l’horizon.

On nous promet des baisses d’impôts qui sont réelles mais on accroît les prélèvements obligatoires. On s’y habitue mais la révolte gronde dans nos campagnes.

On vit avec l’argent du lendemain et non avec l’argent que l’on a gagné et l’on voudrait que les français soient heureux avec 39 000 € de dettes pour chaque Français, dès la naissance. Quel cadeau !

Et l’on s’étonne que les naissances baissent en France ? Le Français n’a jamais été aussi accablé par un crédit et par la maladie.

Cette dette, à la naissance, est-elle la prime à la naissance ? On pourrait y croire avec un taux d’intérêt négatif. Mais attention, on paiera très cher la baisse de la natalité.

En fait, notre pouvoir d’achat baisse régulièrement entre 3 et 4 % l’année, non pas par les achats que nous faisons chaque jour mais par un crédit qu’il faudra bien rembourser, un jour ou l’autre.

Nous, parents, nous devrons dire merci à nos enfants pour avoir trop bien vécu ; mais eux, que feront-ils ?

Le pouvoir d’achat n’augmentera qu’à partir du moment où l’on décidera :

  1. De transférer les charges sociales et la retraite sur le budget de l’Etat ; c’est ce qu’on appellera la TVA sociale nécessaire pour l’Etat et qui compensera les nouvelles  charges
  2. Quand on décidera d’appliquer partout, chez soi, au travail et à la lettre, la solution de Michel Leclerc pour se protéger de toutes les grandes maladies.

La France aura alors un travail rémunéré à sa juste valeur. La France aura un pouvoir d’achat qui aura progressé de 22 %. La France aura une santé rassurante.

L’épée de Damoclès aura été brisée. Les Français pourront alors conserver leur énergie dès la naissance. Voilà la France de demain et c’est ce qui importe pour tous les Français.

Il n’y aura plus de tire-au-flanc ; tout le monde travaillera y compris les chômeurs qui sont chômeurs, non pas par désir mais parce qu’on n’a pas voulu faire ce qu’il fallait.

Le mensonge économique ne sera plus nécessaire. L’autodestruction est la conséquence de l’incompétence à résoudre les vrais problèmes. On a beaucoup promis,  mais, en fin de compte, il y aura peu de résultats.

Le face à face du réel et du désir n’est pas au rendez-vous. La politique n’a rien résolu. Elle a fait ce que tout le monde faisait depuis des dizaines d’années : elle a creusé le crédit

Ce que je propose, c’est une politique du vrai travail, d’une vraie vie. Une vie qui ne permettra plus le doute mais l’assurance de vivre longtemps et en pleine forme.

Le pouvoir d’achat à crédit, c’est une tromperie, un mensonge, que l’on camoufle.

Osez rentrer dans un nouveau monde, celui du travail, celui de la vie, le plus longtemps possible. Et tout cela dès demain.

Courage Président.

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