Le Coronavirus. Que fait-on ?

Je voudrais d’abord préciser que ce coronavirus est arrivé et qu’il repartira comme il est venu.

Quels ravages fera-t-il ? Peu de choses en fait. Dans le pire des cas, il y aura 10 000 morts dans  le monde. Cependant, chaque année, la grippe en tue plus de 200 000. Mais on s’y est habitué et on a l’impression d’être entré dans la fatalité.

Alors, qu’a-t-on fait et que peut-on faire ? Ce que l’on a fait est utile pour éviter la propagation. Que peut-on faire ? Rien qui puisse soigner ceux qui en seront atteints. Et il ne sera mortel que quand il s’attaquera aux faibles.

On nous parle d’un vaccin. Certes, il ne sera prêt que l’année prochaine mais sommes-nous certains qu’il arrêtera le coronavirus ? Combien de gens vaccinés contre la grippe l’ont quand-même attrapée ? Alors, il ne faut peut-être pas s’affoler, ni immédiatement, ni médicalement.

Il faut surtout chercher d’où proviennent ces virus qui arrivent comme par hasard, chaque année à la même date. Ce que l’on peut faire tout d’abord, c’est renforcé notre système immunitaire. Il faut donc empêcher qu’il ne soit occupé à autre chose, à des maladies répétitives ou simplement à l’influence de l’élément naturel.

Quelles sont les conditions qui donnent vie à un virus ? C’est notre état de faiblesse. Ce sont nos légions de soldats, dans notre corps, qui sont affaiblies. Et qui sont affaiblies par quoi ? Par l’action qui entraîne la rupture de notre circulation sanguine dans un réseau de 40 000 km au travers de notre corps.

La meilleure défense, c’est de se protéger et de renforcer notre système immunitaire en évitant de le détruire par des attaques répétitives plusieurs fois, dans l’année, et je dirai parfois tous les mois.

C’est à mon avis la seule solution pour éviter toute attaque de virus quels qu’ils soient et de toute maladie, quelle qu’elle soit. La vieillesse n’est pas une fatalité, c’est nous qui la construisons en ne nous protégeant pas de l ‘assaut perpétuel des variations des pressions atmosphériques.

Mais on me dira : le virus est là. Les pressions atmosphériques aussi. Mais au moins on sait comment s’en protéger  alors qu’on ne sait pas comment se protéger d’un virus.

La vie est complexe mais conserver toutes ses forces est absolument nécessaire. Il ne faut pas laisser se ronger, jour après jour, année après année, notre capital immunitaire, notre capital énergie. Et ce n’est pas le travail qui le détruit. Ce sont des puissances invisibles mais mesurables.

Soyons humbles. Ce que nous nous ne voyons pas, les animaux parfois le voient et le ressentent bien avant  nous. Ce qui est aberrant, c’est qu’on sait comment se protéger et cette protection est un simple jeu d’enfant.

Pourquoi s’emballer médiatiquement sur un fait que nous pouvons combattre, un virus que l’on peut empêcher de pénétrer dans notre corps, et c’est valable pour tous les virus, alors que l’on peut préserver notre système immunitaire.

Alors, ne pensez-vous pas que ma découverte mérite attention et action ?  Est-ce la peur de rentrer dans un nouveau monde ? Celui d’un bonheur, celui d’une vie plus longue, en pleine forme, celui sans maladie, sans crainte de la vieillesse.

Est-ce par la simplicité qu’elle représente ? L‘avenir va nous le dire.

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