Message à l’attention de Monsieur Macron : « On ne donne jamais plus de goût à un gruyère en lui bouchant les trous ! »

Rien ne sert de boucher les trous d’un gruyère ; on n’augmentera pas sa qualité gustative ! Si l’on veut un fromage sans trous, alors il faut changer de fromage.

Gruyère de chez nous

Le gruyère

Il en est de même pour notre budget : rien ne servira de boucher des petits trous qui serviront de survie ; il faut changer d’optique et mettre en plus des lunettes grossissantes pour une production supplémentaire et donc des recettes supplémentaires.

Faire des économies, c’est bien quand cette économie ne provoque des baisses de recettes. La France a besoin de 600 milliards de recettes supplémentaires par an, provenant de la TVA ou de la CSG. Pour ce faire, il faut produire 15 à 20% de plus pour l’exportation et pour la consommation intérieure. Ceci est tout à fait possible, mais il faut d’abord le vouloir.

Je sais que ce n’est pas une habitude de l’ENA et pourtant, il n’y a pas d’autres choix.

Pour ce faire, il faut baisser les prix de 15 à 20% par un transfert des charges sociales patronales sur le budget de l’Etat. C’est ainsi que d’un déficit de 2,5% l’an, on passera à une situation positive de 2,5%.

Non !!! le gruyère restera avec ses trous, parce qu’on ne veut pas changer de fromage !!!

Les déflations n’ont d’efficacité que si elles se font totalement et rapidement. Bien sûr, je sais que ce n’est pas dans les habitudes du gouvernement. Ils ont appris autre chose à l’ENA ; alors il faut changer d’école ou changer le logiciel de l’école.

Ce sera du gagnant gagnant… mais l’Etat a peur de son ombre et a peur de véritables réformes.

Mais de quoi l’Etat a-t-il peur ? Baisser les charges ! mais tout le monde sera d’accord. Sans oublier que cette réforme augmentera le pouvoir d’achat de 22%.

Allons, soyons sérieux : tout le reste n’est que baratin et discours, et certainement pas un problème d’addition.

Oui, Monsieur Macron, il faut renverser la table et vous savez le faire quand vous le voulez. Personne ne vous pardonnera d’accroître la dette de 100 milliards chaque année.

Il y a peut-être une autre solution : c’est de réduire le coût de la Sécurité Sociale. On s’y emploie, Monsieur le Président. Mais là-encore, il va falloir accepter de s’être trompé ou d‘avoir oublié.

Réduire de 50% le coût de la Sécurité Sociale est tout à fait possible si on accepte d’en prendre les moyens, sans réduire les avantages sociaux de quelque manière que ce soit.

Puisse l’Eternel me laisser le temps de mettre en place avec l’équipe médicale la découverte de l’influence des pressions atmosphériques sur le corps humain, pour permettre de supprimer cancers et maladies graves.

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