Les blocages de la médecine mais aussi de l’industrie

Aujourd’hui, on me dit : « il faut payer », pour confirmer mes dires, mes constats, mes évidences, mes brevets.

Il faut faire des essais mathématiques et cliniques qui coûtent des sommes qu’un jeune ingénieur ou un jeune chercheur ne possède pas.

Et pire encore, toutes ces obligations administratives vont durer des mois, voire des années.

Et, aujourd’hui, on fait également barrage aux nouveaux médicaments qui pourraient peut-être ne sauver que quelques vies, mais ce serait mieux que rien.

Le principe de l’évidence, le principe du constat, sont mis sous le boisseau et l’on ne respecte  même pas le principe de précaution qui éviterait les délais de l’administration et de la règlementation.

Aujourd’hui, on sait qu’il y a deux possibilités pour parer au virus, des médicaments que l’on  refuse : la chloroquinine ou l’artémisia qui ont fait leur preuve sur le palu ; ceci oblige les médecins à passer outre pour sauver leurs patients.

Il y en aura peut-être d’autres, d’autres médicaments, mais, en attendant, utilisons ce que l’on a. Toutefois, ne serait-ce pas le prix qui serait la cause de ce barrage, un prix ridicule, accessible à tous et non aux plus riches ?

Il y a des millions de vie à sauver, n’attendons pas leur mort.

C’est vrai : je ne suis pas médecin, mais j’ai l’habitude de mener des combats et je l’ai prouvé en cassant des monopoles ;  malheureusement, j’y ai mis 20 ans de ma vie et 1 600 procès.

A tout ce que je propose, j’aurais au moins aimé que l’on me prouve le contraire au lieu de présenter toujours des barrages d’intérêts.

Ma découverte sur la cause des cancers, personne, vous m’entendez bien, personne n’a dit le contraire. La seule réflexion que j’ai eue, c’est : « on n’y a pas pensé ». Pour moi, ce n’est pas suffisant.

Je vais tout de même me plier à leurs exigences et je me demande s’il s’agit d’exigences sanitaires ou médicales, ou bien des problèmes d’intérêts.

J’y mettrai le temps qu’il faut mais j’y arriverai, tout au moins pour ce qui est du cancer qui, rappelons-le, tue 22 millions d’êtres humains dans le monde chaque année et 720 personnes par jour, en France.

J’aurais préféré l’évidence mais ce n’est pas la loi de l’argent.

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