Investir ou éradiquer

Il va falloir choisir : investir massivement dans l’hôpital, en matériel et en salaires des soignants ou financer tout ce qui est possible pour éradiquer toutes les maladies, tous les cancers, par l’évidence. Dans un cas, on affaiblit les patients, dans l’autre, on renforce les éventuels patients.

Il faut que l’hôpital soit l’exception, par accident. L’hôpital ne peut pas réparer tout ce que l’homme détruit.

Nous connaissons aujourd’hui la cause si naturelle qu’elle soit qui entraîne les cancers, les grandes maladies, et cette cause entraîne l’affaiblissement de notre système immunitaire qui ne peut s’opposer au virus.

La cause est la même. Il  n’y a pas un médecin au monde qui peut s’opposer à ce que je vais dire. Toutes ces maladies, tous ces virus, sont provoqués par un problème de circulation sanguine, une circulation qui, une fois bloquée, entraînera systématiquement le cancer et ne pourra pas faire face aux virus.

Alors, dépenser beaucoup d’argent pour l’hôpital, je n’y vois aucun inconvénient, mais éviter que l’on meurt pour ne pas avoir voulu éradiquer la cause, me paraît douteux.et j’aimerais savoir le pourquoi ou plutôt, je ne le sais que trop.

Notre système de recherche n’est pas à la hauteur de l’enjeu ; on n’est pas parti sur la bonne voie. On a cru que la chimie pouvait tout changer, tout réparer : c’est exactement le contraire qui se produit.

Il n’y a qu’une solution, il n’y en a pas deux, il faut réguler la circulation sanguine en régulant les variations des pressions atmosphériques. Tout le reste en découle.

On a tendance à considérer que les effets naturels sont toujours positifs mais c’est archi faux. Il y a des causes provoquées par effets naturels dont les résultats sont terriblement négatifs car la nature, tout comme l’homme, doit suivre une ligne d’or et ne pas en dériver. Cette ligne, nous la connaissons. On nous fait faire sans cesse des analyses et l’on s’aperçoit que l’on a dérivé de la ligne d’or, de part et d’autre.

Alors vous allez me dire : c’est trop simple, vous n’y connaissez rien. Peut-être ?, mais j’en vois les résultats ; c’est un constat accablant.

Accepter que la nature a ses faiblesses et des faiblesses parfois toutes puissantes, comme l’homme a ses faiblesses, comme tout produit naturel. L’homme est une mécanique bien simple si l’on veut déjà se pencher sur l’essentiel. En évitant les causes des maladies que nous connaissons, nous allons économiser des sommes faramineuses et redonner à l’homme sa puissance et ce, dès la naissance.

Il n’est pas question pour moi de supprimer l’un tant qu’on n’a pas fait l’autre ; on ne détruit pas avant d’avoir construit. Mais d’autres, bien avant moi, l’ont démontré. Soigner ne doit être que l’accident qui arrive quand on n’aura pas fait l’essentiel ou tant qu’on n’aura pas régulé l’indispensable, c’est cela se protéger.

On peut soigner avec des médicaments mais on peut conserver toute notre puissance en régulant notre vie et les phénomènes naturels tels que les pressions atmosphériques.

Beaucoup de ceux qui auront lu ce texte se diront que c’est de l’utopie. Ce n’est pas vrai. Je joins à ce texte tous les schémas de construction des régulateurs car en régulant la circulation de notre sang, nous développons notre système immunitaire et, de surcroît, pour les cancers et toutes les autres grandes maladies, on les évite en ne détruisant pas nos cellules.

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