Des pare-feux contre l’avancée des déserts pour sauver notre climat

Les océans montent, les glaces fondent, les jeunes s’enflamment pour le climat. Il nous faut agir. La grande muraille verte, initiée il y a plus d’une dizaine d’années, est totalement insuffisante et l’avancée des déserts continue toujours de progresser de 18 m² à la seconde.

Pour lutter contre le réchauffement climatique… il nous faut des pare-feux

Le climat comme ami

Il faut convaincre des pays comme l’Egypte, l’Algérie, le Maroc, le Mali, de constituer avec nous ces vastes pare-feu sur lesquels nous trouverons en abondance, et de façon pérenne, des vergers, des cultures maraîchères, des cultures du désert tel que le jojoba, et aussi des forêts et d’immenses pâturages où l’élevage sera abondant, le tout créant une véritable économie commerciale et industrielle.

Pour ce faire, je propose de créer dix pare-feu contre le réchauffement climatique, beaucoup plus importants que cette coulée verte, de 100 km sur 1000 km, implantés au-dessus des immenses nappes phréatiques situées sous les déserts.

Michel Leclerc

Des milliers de puits sont nécessaires, des pompes, les sources d’énergie que nous savons produire à partir du thorium. Arrêtons de dire que l’énergie nucléaire est dangereuse. Regardons le soleil qui n’est qu’énergie nucléaire. Pouvons-nous dire qu’il représente un danger pour nous ? Bien sûr, il y a l’atmosphère qui bloque ses radiations et pour ce qui est des mini-générateurs au thorium que je propose, nous avons les blindages nécessaires avec de simples feuilles d’aluminium.

Il faudra fournir dans un premier temps des canalisations, des immenses tuyauteries, des tracteurs et leurs équipements, des engrais naturels en quantité.

Il faudra bien commencer tôt ou tard. Actuellement, ces pays n’ont pas les possibilités financières et techniques de développer le projet. Il faut les aider et cela représentera 100 milliards chaque année pendant 20 ans.

Un projet pour l’Europe

Tout ceci fera aussi tourner les usines en France et en Europe. Il faudra accepter en contrepartie les productions cultivées dans ces pays et il faudra également leur donner les méthodes de transformation industrielle pour parvenir à fabriquer aussi des produits surgelés, des conserves, etc.

A ces matériaux que nous fournirons, il faudra aussi ajouter des ressources humaines pour accompagner cette révolution, c’est-à-dire des ingénieurs agronomes, des ingénieurs spécialisés dans l’hydraulique, comptant sur les paysans de là-bas qui ont la connaissance du terrain pour l’irrigation mais insuffisante techniquement et qui pourront, dès lors, travailler sur place plutôt que d’émigrer.

  • On résoudra en même temps les problèmes de misère et de dénutrition dans ces pays
  • On mettre fin à une immigration non souhaitée mais imposée pour vivre
  • On résoudra le problème des climats pour nous mais pour eux aussi
  • On apportera une bouffée d’oxygène à nos industriels européens.

Alors quel en est le prix pour chacun d’entre nous, Français et Européens ? Entre 10 et 15 € par mois pour avoir le droit de vivre dans ce monde dont les Etats se referment sur leurs problèmes.

Un projet pour notre jeunesse

Nos jeunes l’ont compris, ils sont prêts à tout mais ils n’ont pas nécessairement détecté toutes les causes. L’arrivée d’un climat tropical dans nos régions provient uniquement du développement des déserts.

Développer l’économie de ces pays va dans le bon sens. Ce que nous proposons, c’est du travail pour des millions de paysans de ces pays, mais aussi du travail pour une très importante part de ces populations grâce aux besoins industriels sur place.

Il faudra que notre diplomatie arrête de distribuer de l’argent uniquement pour les dirigeants de ces pays. Il faudra convaincre les chefs d’Etat mais aussi tous les dirigeants, tous les intellectuels de ces pays, que l’argent proviendra de chez eux. L’argent qui vient d’ailleurs est trop souvent dépenser inutilement.

Monsieur MACRON, ce n’est pas dans 5 ou 10 ans. C’est dès demain matin, au lever du soleil, que vous devrez vous y mettre et ordonner à la diplomatie d’agir. Il vous faudra aussi convaincre tous les dirigeants européens de monter dans le bateau pour constater ce qu’il en est et pour apporter les moyens nécessaires à ce pays.

Michel Leclerc

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