Aujourd’hui, il existe au Sahara des cuvettes de la grandeur de la Méditerranée et qui sont de plusieurs mètres au-dessous du niveau de la mer telle que nous le connaissons, que ce soit au niveau de la Méditerranée ou de l’Océan Atlantique.
On nous dit que la fonte des pôles et des glaciers va entraîner une hausse des océans de 4 à 5 mètres, ce qui va provoquer un énorme différentiel par rapport aux cuvettes du Sahara. Alors, pourquoi ne pas mettre un lien entre l’Océan ou la Méditerranée avec ces cuvettes du Sahara afin de contrer la hausse des océans et, par conséquent, l’inondation des côtes qui pourrait faire perdre des millions d’hectares cultivables ?
Un transfert entre les océans et le Sahara par des canaux ou autres drainages permettrait de changer le climat de cette zone et créerait un équilibre entre les pôles et les déserts. En une seule opération, on éviterait les conséquences de la fonte des glaces et on résoudrait le problème du réchauffement climatique. Ceci est peut-être impossible ; c’est aux géologues de nous dire la faisabilité.
L’arrivée de ces eaux au centre du Sahara n’exclurait pas la culture intensive autour du désert, de zones maraichères, viticoles, arboricoles et autres.
Pourquoi ne pas y réfléchir ? C’est une idée comme une autre pour réduire le réchauffement climatique. Cela représenterait d’immenses travaux, mais on a bien creusé le canal de Suez ou celui de Panama. Nous avons aujourd’hui les moyens techniques qui rendraient ces travaux possibles même sur un millier de kilomètres.
Tout ceci apporterait un plus au développement industriel, tant de l’Europe que de l’Afrique. Bien sûr qu’il faudra s’adapter aux régions et obtenir la possibilité de faire ces travaux dans différents pays. Mais, vous savez, le début du Sahara sera très bientôt aux portes de l’Océan…
Un rêve ? Une idée saugrenue ? Peut-être, mais des idées qui permettraient de résoudre bien des problèmes, humains, économiques, sociaux, tant pour l’Afrique que pour l’Europe.
La folie des grandeurs ! Je pense que, toutes proportions gardées dans le temps et compte tenu des évolutions techniques, ce n’est pas plus fou que d’avoir creusé le canal de Suez ou de Panama. Alors, réfléchissons-y, tout simplement. L’impossible n’est pas français !