C’était il y a 50 ans

Amstrong, l’astronaute, déclarait alors «  c’est un petit pas pour l’homme, mais un pas de géant pour l’humanité ».

Cet événement aura coûté plusieurs centaines de milliards.

Ma découverte n’est que celle d’un petit garçon ; elle est la clef pour l’ouverture à un nouveau monde. Non seulement elle ne coûtera rien ou si peu, mais elle économisera, chaque année, 180 milliards, à la Sécurité Sociale et elle renforcera une énergie que nous possédons et que nous devons préserver depuis la  naissance mais qui, malheureusement, va s’épuiser par les attaques répétées des pressions atmosphériques.

Tout ceci va changer le demain économique. Ce nouveau monde, c’est d’abord bien vivre quelques dizaines d’années en plus, en  parfaite santé. Ce sera aussi la possibilité de travailler plus longtemps tout en conservant davantage de temps de retraite.

Le mot « vieux » ou « vieille » doit disparaître des écrans car ce ne sera plus le cas.

J’ai, en effet, constaté que, comme pour les pressions atmosphériques qui varient dans un delta donné, ce sont les variations de la composition de l’oxygène qui déclenchent le coronavirus.

Assurément, un nouveau monde va s’ouvrir rapidement à condition que  l’incrédulité ne fasse pas trop de ravages. Il faut s’y mettre tout de suite. Rien ne s’y oppose.

Aucun médicament ne sera nécessaire excepté dans le cas d’une infection trop tardive quant à sa découverte. Il suffira simplement de maintenir à pression constante et à composition constante, pour l’oxygène, ce que nous respirons dans notre chambre, tous les jours.

Comment pouvoir constater cette régularité ? Dans un cas, il suffira d’un seul coup d’œil à votre baromètre, dans l’autre cas, il faudra mesurer avec un petit oxymètre de doigt, la teneur du sang en oxygène.

Et pour ceux qui sont déjà infectés, il me paraît souhaitable de leur faire inhaler de l’oxygène réchauffé (se souvenir de la bonne vieille méthode de la serviette au-dessus du bol d’eau chaude).

Une chose est certaine, ces découvertes ne me sont pas d’un intérêt financier mais simplement pour le bonheur de faire vivre…, ce qui est peut-être surprenant pour un croque-mort ! et pourtant c’est ainsi. C’’est l’intérêt de la France d’abord ; c’est une pierre jetée dans les bureaux des chercheurs.

Et vous êtes déjà des dizaines à me demander les méthodes de son application pour le cancer.

Pour le coronavirus, le chauffage de l’oxygène est aussi élémentaire.

Je ferai paraître sur Twitter les schémas nécessaires (aux environs du 15 mars) pour ce qui est du cancer.

Pour ce qui est des virus et du réchauffement de l‘oxygène, rien de plus simple. Mais attention, il ne faut pas non plus chauffer l’oxygène à des températures supérieures à 37°, voire, 40 °. Il ne s’agit pas de détruire ses poumons ! Il faut rester dans le delta entre 20 et 40 °.

Attention encore : si l’infection est déclarée, il faut utiliser ce processus doublé du protocole du Dr Schwartz. L’un éradiquera le virus, l’autre supprimera l’infection.

Je pense tout de même affirmer, que ceux utiliseraient cette découverte pour des raisons mercantiles, que c’est un petit garçon qui, pour la première fois, l’aura découverte.

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