Nous devons affronter aujourd’hui ce que les scientifiques nous ont laissé c’est-à-dire l’éventualité sans certitude : en fait, rien du tout.
Ils ont laissé courir le fil de la mort. Ils n’ont pas su ou ils n’ont pas voulu apporter des solutions, faute de ne pas avoir trouvé les causes. Ils se sont contentés de soigner sans couper la source.
Ce qu’ils nous ont apporté, c’est un véritable coup d’épée dans l’eau. Ils nous ont laissé avec la peur, pire, ils l’ont développée.
Le « je ne sais pas » ne semble pas être la volonté de gagner, tant pour les virus que pour les grandes maladies et les cancers. Ils ne veulent pas écouter le bon sens. Ils sont des milliers à faire leur travail sans résultat. Le bon sens, celui qui permet d’éviter et même de soigner en empêchant tout développement, ne semble pas faire partie de leur registre.
Arrêtez le blablabla : les Français attendent des actes et ils sont prêts à y participer. Pour les virus comme pour le cancer, il faut sortir du cauchemar scientifique pour rentrer dans la réalité et le résultat.
Se dire médecin ou chercheur ne suffit pas. Le peuple ne quémande pas, il veut des résultats.
On ne peut pas dire que la mort soit le bon résultat : elle devrait être l’exception.
