Y a-t-il des limites à la vie ?

Je pense que oui, par notre faute, car nous ne respecterons jamais la totalité des constantes de la vie.

Il y a des constantes que nous connaissons et il y a des constantes que nous ne connaissons pas.

En respectant la totalité de nos constantes connues, nous pouvons déjà faire fonctionner la machine humaine deux à trois fois plus longtemps qu’aujourd’hui.

C’est cette durée de vie qui se passera en pleine forme.

Pour ce qui me concerne, je vais résoudre la régularité de trois d’entre ces constantes, avec vous, bien sûr.

  1. La principale : les variations de pressions atmosphériques que nous allons réguler quelques heures par jour, pendant notre sommeil
  2. Les variations de flux magnétiques en utilisant, quelques heures par jour également, le principe de la cage de Faraday, ce qui peut aussi se faire pendant notre sommeil
  3. La régulation des variations de rayonnement ne peut se faire qu’en mettant fin à nos habitudes perverses telle que l’exposition de notre corps dénudé au rayonnement solaire plus de quelques minutes par jour.

Ce peu d’actions semble facile mais n’est pas si simple qu’on le pense tant nos mauvaises habitudes ont pris le pas sur le bon sens.

Oui, notre vie va être bouleversée car tout ce que je viens d’annoncer sera fait dans les dix ans à venir.

Aujourd’hui, on court après la mort en ne respectant aucune de ces constantes.

Alors même que les religieux nous disent qu’ils ne sont pas pressés d’y aller…

Essayons seulement, ensemble, sans mettre en doute qu’un jour on atteindra l’âge des baleines dont certaines ont plus de 500 ans.

Il y a aussi des arbres millénaires.

Terrassons nos maladies, notre vieillesse, en régulant nos constantes.

Il est possible qu’un jour on puisse atteindre la vitesse de la lumière et nous pourrons alors rattraper le temps passé (Diderot).

Contrairement à ce qui est encore un rêve, notre futur est à notre porte.

Ce n’est qu’une liberté de choix.

Doit-on poursuivre les solutions …

Doit-on poursuivre des solutions médicales bancales sans espoir ou doit-on éviter d’avoir besoin de ces solutions qui conduisent à la souffrance et à la mort ?

Réguler la dérive des constantes, chez soi, pendant son sommeil, me paraît être celle du bon sens et de l’évidence.

A force de le dire, nous voilà aux réalisations, aux résultats, qui vont bouleverser notre futur et celui de nos enfants.

Donnons à nos cellules le droit de vivre sans rupture d’oxygène.

Personne ne peut s’opposer à une solution qui n’entraîne aucun médicament, simplement en étant quelques heures par jour dans un espace régulé.

Cela évitera de mettre nos capillaires en danger.

Oui, nos capillaires sont les maillons faibles de notre vie.

Elles sont sans protection.

  • Force,
  • énergie,
  • durée de vie,

retrouveront un nouveau chemin dans un futur plein d’espérance, de bonheur et de vie de très longue durée et en pleine forme.

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