Une tutelle de la Russie et de la Corée du Nord par l’Occident est la solution la plus probable, voire la plus nécessaire.
L’objectif de ces deux pays est une dictature pour le peuple et un empire financier pour les oligarques.
Sous des apparences communistes, ce monde est technocratique et dictatorial.
Ce sera l’Occident qui aura la charge de ce poids lourd, au prix de grands sacrifices de la part de l’Ukraine mais qui seront payés par le gaz et le pétrole. Il est vrai que les valeurs pétrolières vont être mises à l’écart avec le développement du nucléaire mais le pétrole sera toujours nécessaire pour la fabrication de certains produits non recyclables.
L’industrie plastique va se convertir pour des produits plus écologiques. Il restera alors trois grands groupes : économique, politique et religieux qui seront l’Occident, la Chine et l’Inde.
L’Afrique a encore du chemin à faire pour prendre place dans le concert des nations libres et démocratiques. Son PIB est encore loin de celui de l’Occident. Les seules réserves importantes de l’Afrique sont le sous-sol, le désert et le soleil. A elle de s’en servir et non aux nations étrangères.
L’Ukraine : la surenchère
C’est la surenchère sur le futur de l’Ukraine.
Les grosses entreprises occidentales se bousculent déjà pour obtenir des contrats d’après-guerre en échange d’argent, d’armes et de munitions. L’Ukraine n’a rien à craindre des élections présidentielles américaines de demain. Les intérêts sont trop importants.
Bientôt, à fin octobre, nous allons entrer dans la période des pluies mais la Crimée n’est pas concernée par ce phénomène climatique. En revanche, les abords de la Russie, à la frontière, le sont totalement.
Le courage du peuple ukrainien est admirable. Il va gagner face à la dictature russe et même auprès des russophones ukrainiens ou de Crimée qui viennent en Occident en cachette. Ils viennent profiter de la liberté et de la démocratie.
Ce fut déjà le cas lors de la révolution d’octobre. On retrouvait des Russes qui avaient fui la dictature, dans tous les pays d’Europe.
Il est vrai qu’en temps de guerre il y a des profiteurs partout, y compris en France, dans les années 40 ; on trouvait des collaborateurs à tous les coins de rue.
Mais en Ukraine, comme en France, il en est qui ont adopté la résistance dont on voit aujourd’hui l’intérêt en Crimée et en Ukraine.
Aidons l’Ukraine. La moindre petite chose sera toujours un plus pour l’Ukraine. C’est à nous, pays libre, d’aider l’Ukraine à créer son futur ; cela fait partie de la fraternité.
