Un pouvoir d’achat que refuse le pouvoir politique

Entendre toujours le même leitmotiv devient insupportable.

Décidément, on entend le médecin nous dire, pour les grandes maladies: je ne sais pas, et on entend le politique nous dire je ne peux pas. N’est-ce pas un peu trop facile ? Etre si instruit et si intelligent ne semble pas être suffisant.

Rien, absolument rien, ne peut aujourd’hui avoir un justificatif ; c’est, soit par intérêt personnel, soit par choix politique. Le politique semble triompher en évoquant son incompétence ou des situations économiques difficiles.

Oui, c’est vrai pour l’un comme pour l’autre, il suffit de l’expliquer aux Français le pourquoi et le comment.

Les dernières mesures qui sont prises afin de rééquilibrer le montant des retraites des agriculteurs et des commerçants ou artisans, est certainement une excellente chose mais ce qui va être donné d’une main sera repris de l’autre. Et ce qui est plus inquiétant, c’est qu’il y aura beaucoup de mains pour prendre et très peu pour recevoir.

Comme toujours, les demi-mesures n’apportent aucun résultat sérieux si ce n’est, une fois encore, d’accroître la dette. Et devant l’impossibilité, on viendra nous dire à la télévision qu’il faut augmenter nos impôts pour payer la dette.

Et je vais vous surprendre car, si c’est pour payer la dette, j’applaudirais des deux mains mais, comme d’habitude, on prendra davantage d’impôts pour faire du n’importe quoi.

Je n’ai jamais vu, de toute mon existence, baisser les impôts sans en rajouter le double. Et les manières de reprendre le double sont si nombreuses que ce n’est pas très difficile et, pour agir ainsi, les gouvernements et les politiques sont, en général, d’une compétence exceptionnelle. On essaie toujours de faire passer la pilule de telle manière qu’on y verra que du bleu.

Il est tellement évident que si aujourd’hui il y a beaucoup d’injustices, il y en aura encore davantage demain avec tout ce magouillage.

Monsieur le Président, je finirai par croire que vous ne connaissais pas le peuple de France : il ne dit rien mais n’en pense pas moins et cette situation est dangereuse.

J’aurais tendance à vous dire que baisser les impôts n’est pas français.

La magie n’existe pas et la preuve est flagrante quand on voit ce matin le compteur de la dette s’affoler à 2 450 milliards c’est-à-dire près de 40 000 € par Français y compris les enfants. Quel cadeau !!!

Et tout ceci pourrait être évité par le bon sens, soit par des solutions économiques de productivité, de production et d’exportation, soit par des solutions qui amélioreront notre vie ou notre santé. C’est d’autant plus vrai qu’en améliorant la santé, on accroît aussi la productivité.

Le temps des privilèges est terminé, le temps des monopoles va s’effacer. La cause des maladies va être éradiquée.

A nous, Français d’en accepter l’augure et de prendre toutes les dispositions nécessaires, envers et contre tous si nécessaire afin de nous protéger.

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