Oui, si l’on n’applique pas ma solution, le coronavirus aura fait 1 000 morts en France et probablement 50 000 morts dans le monde mais rien, absolument rien n’aura changé dans la conscience collective.
Combien de morts faudra-t-il ? 100 000 morts ? Non, ce ne sera pas suffisant car, aujourd’hui, le cancer fait dans le monde 22 millions de morts, chaque année et on s’y habitue.
Rien, je dis bien rien, rien ne sera fait pour résoudre ce problème. Deux poids, deux mesures.
Certes, la cause n’en n’est pas un virus mais le résultat est le même en ce qui concerne le cancer. C’est la régulation des pressions atmosphériques qui résoudra ce problème.
Pour les virus : ils meurent tous fassent à l’oxygène à 35°. Combien de morts faudra-t-il pour appliquer l’évidence ? Est-ce trop simple et pas assez coûteux pour se dire : on va essayer, sans risque d’effets secondaires, sans risques du tout d’ailleurs.
Mais que faudra-t-il donc faire pour vaincre l’incrédulité ? On préférera mettre la cause sur la mondialisation. Oui, la mondialisation en sera un des facteurs de contagion mais elle ne sera pas la cause ni le fait de l’apparition du virus.
Faute de cause, il faut s’en protéger et les tuer en renforçant notre système immunitaire par l’inhalation d’oxygène à 35 °.
Attention, tout de même, il ne s’agit pas non plus de brûler les poumons.
A ce jour, il semble que les virus se réveillent dans un climat bien précis, sous une latitude bien précise.
De toute manière, pour l’instant, il faut s’en protéger. Les mesures prises par le gouvernement sont, pour le moins, de mise mais elles ne suffiront pas car il faudra attendre le 1er ou le 15 mai pour que l’atmosphère se réchauffe.
Alors en attendant, essayez ma méthode.
Autant le cancer nécessite de se mettre à l’abri des variations de pressions atmosphériques, autant il suffit d’inhaler de l’oxygène à 35° pour tuer les virus.
La prévention nécessite de s’y préparer surtout pour les personnes âgées.
Aujourd’hui, on est en train de paralyser l’économie. Certes, on va injecter des sommes colossales pour éviter l’effondrement des bourses et la faillite des banques mais c’est votre argent que l’on injecte et il est curieux que, pour le social, on ne trouve pas d’argent.
Alors, on a décidé de passer outre et d’accroître d’une manière affolante la dette qu’il nous faudra payer un jour ou l’autre.
Puisse ma solution limiter les dégâts. Surtout les dégâts économiques qui découleront de ces mesures.
A ce jour, l’épidémie du coronavirus n’a tout de même pas créé l’apocalypse. Il faut donc raison garder.
Le rôle du gouvernement est de faire ce qu’il fait pour qu’on ne lui fasse pas de reproches ; mais ce n’est pas la solution.