La moitié de la planète se réarme et se met en position de défense.
Moi, je propose que l’on se mette en état de marche pour vivre en pleine forme et plus longtemps, dans une situation paradisiaque, en se défendant des forces de la nature.
Donner à l’homme une autre puissance physique et intellectuelle. Ce ne sera plus, dès lors, l’énergie nucléaire qui sera dangereuse mais la puissance de l’homme.
Anéantir l’humanité ne conduirait à rien si ce n’est au vide. Les dérives de nos armements ne conduisent pas à une vie paradisiaque.
Je préférerais voir l’homme immortel que de le voir mourir à 83, en moyenne.
Accéder à cette puissance de l’homme coûtera 100 fois moins cher que tous les armements réunis. Nous vivrons alors une période dans un monde, socialement, politiquement, où il fera bon vivre.
La vie est comme un aimant, elle a deux pôles indissociables. Vous coupez un aimant en deux, il s’en reforme aussitôt deux avec chacun un pôle positif et un pôle négatif.
Et je préfère que notre vie soit indissociable et, pour y parvenir, la solution est toujours la même : assurer la maintenance de nos constantes.
La Banque Centrale Russe
La Banque Centrale Russe tire la sonnette d’alarme : elle n’a plus de dollars pour payer les achats extérieurs, y compris à ses alliés.
Le Directeur de la Banque Centrale a annoncé que la guerre coûtait 30% du PIB russe et que l’inflation était à 70%.
Il n’est plus de vendeur dans le monde entier, qui puisse être payé en rouble. Cette monnaie ne vaut plus rien sur le marché financier.
Certes, il reste le troc mais le troc a des limites.
Les mesures occidentales prises contre la Russie ont fonctionné.
Poutine n’est pas un grand stratège. La Russie est un manteau beaucoup trop grand pour lui. Chaque petite république de Russie tente de survivre mais le régime central ne fonctionne plus.
On a l’impression que cette guerre finira le jour où les Russes n’auront plus de munitions, de chars, de missiles, de bateaux et d’avions. Ce jour n’est pas très loin. Pour le moins, les jours sont comptés pour Monsieur Poutine…