Rester maître de son existence

On se dit en liberté mais la première des libertés est de vivre.

  • Le Créateur n’a jamais fixé la vie à 83 ans de moyenne mais à 180 ans et 3 mois, selon les mathématiques, et peut-être davantage.
  • Le Créateur n’a jamais souhaité la souffrance ; c’est encore une invention de l’homme, incapable de l’éviter et ce, depuis des millénaires.
  • Les religions ont incité leurs adeptes à la souffrance mais Dieu ne l’a imposé à personne ; mieux encore, il a donné les moyens de l’éviter.

Ce sont nous, êtres humains, qui avons essayé de gagner quelles années, quelques mois, par-ci par-là. Mais Dieu a créé l’homme à son image.

Il n’a jamais limité cette durée de vie.

Dieu est la bonté et non la souffrance.

L’homme a un ADN éternel ; redonner à l’homme son plaisir de vivre en pleine forme et très longtemps, n’a rien de miraculeux.

C’est simplement la remise en ordre des constantes qui règlent notre vie.

L’homme se doit de rester maître de sa vie selon les règles qu’a fixées l’Eternel.

 

Je veux retrouver les facultés de ma naissance

Etre dans le doute, dans la crainte, dans la peur, d’une vie pour laquelle je n’aurais qu’à subir, ne me convient pas, ni pour moi, ni pour mes enfants, ni pour tous ceux qui m’accompagnent.

Il m’a fallu arriver à 50 ans pour le comprendre et pour chercher une solution, ne serait-ce que partielle, pour prolonger cette vie dans un nouveau monde.

  • Qui a décidé que notre vie devrait être limitée à 80 ou 100 ans ?
  • Qui a décidé de réduire ma défense immunitaire de 1 à 2% l’an ?
  • Qui a décidé pour moi de vieillir dès ma naissance ?
  • Qui a décidé d’écourter ma vie de 180 ans et trois mois, selon les mathématiques, à seulement 83 ans en moyenne ?
  • Qui a décidé de développer dès la naissance des cancers, des grandes maladies ? Ce n’est sûrement pas le Créateur.

C’est la vie me direz-vous !

Eh bien, non, ce n’est pas le hasard, mais simplement le fait d’avoir refusé d’assurer le respect de nos constantes et de ne pas avoir combattu les dérives de ces dernières, provoquées par une nature en folie.

J’ai donc décidé d’essayer de vivre jusqu’à 180 ans, en régulant les dérives des constantes.

Qu’a-t-on inventé jusqu’à ce jour ?

On s’est contenté de soigner et non d’éviter et ce, y compris le réchauffement climatique et toutes les grandes maladies qui conduisent au naufrage de la vieillesse.

Ma découverte sur la théorie des constantes et mon invention pour y apporter la solution doivent être développées le plus vite possible.

Il nous faut éviter la mort de nos cellules et assurer un fonctionnement normal de tout ce qui est nécessaire à une vie en pleine forme à l’abri des intrus, des desséchements et de la suppression progressive de notre système immunitaire.

Il est certain que c’est toute notre vie physique, intellectuelle, sociétale et économique, qui va s’en trouver transformée, améliorée, provoquant aussi un chambardement au travail pour produire plus rapidement.

Ce n’est pas un combat contre la médecine que je veux, mais je veux simplement réparer un oubli de nos chercheurs.

Il faut qu’ils sachent qu’il n’y a pas un seul médicament ou vaccin qui puisse vaincre ce dérèglement des constantes naturelles, seule la technique peut le faire.

 

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