Réduire la TVA ou la CSG

Réduire ces deux taux est une mauvaise solution car elle n’augmentera en
aucun cas la compétitivité sur le plan international. Seul le transfert des
charges sociales sur le budget de l’État permettra de rétablir notre économie
par un accroissement de nos exportations.
Si l’on veut augmenter notre pouvoir d’achat, on ne peut le faire que par la
réduction des coûts à la production et pour les services. Si l’on veut ne plus
avoir de soucis avec nos importations de Chine, d’Inde et des États-Unis, il faut
se mettre au diapason de la mondialisation.
Réduire la TVA, c’est réduire les ressources de l’État, ce qui aboutit à un
accroissement de la dette qui devient de plus en plus coûteuse du fait de
l’augmentation des taux d’intérêts.
Supprimer les charges sur le travail, c’est revaloriser le travail. Nos dirigeants
parlent sans cesse du travail mais l’appauvrissent sans cesse par de nouvelles
taxes, par de nouvelles charges.
On a réalisé la mondialisation économique et spécialement celle du commerce,
on a oublié la mondialisation du social qui met hors course à l’exportation la
totalité de l’Europe.

Pas d’espoir de paix, dites-vous ?

Et vous avez raison car c’est l’espoir de la victoire qui triomphera.
Dans la situation actuelle de l’Ukraine, il n’y a pas deux solutions. Trouver un
accord avec la Russie, ce sera créer un nouveau mensonge et, compte-tenu de
l’attitude Monsieur Poutine, le chantage sera toujours à l’ordre du jour.
L’OTAN est en marche avec pour seul objectif de mettre fin au régime actuel de
la Russie et de s’accaparer des puits de pétrole et des gisements de gaz.
Si demain, l’Ukraine n’a pas la victoire, alors on partira pour la troisième guerre
mondiale. La troisième guerre mondiale coûtera dix fois plus cher que tout
financement de l’Ukraine, à ce jour.
Avec l’esprit d’un Poutine, il n’y a pas d’autre solution que d’en finir avec lui et
avec son régime. La Russie n’a de grandeur que son espace vital. Poutine,
comme Hitler, n’ont de grandeur que leur folie commune.

Il reste encore très peu de jours avant le déclenchement de la troisième guerre
mondiale. Mais il n’y a pas un seul de nos dirigeants qui aient connu la guerre :
ils ne peuvent pas comprendre. La guerre ne s’apprend pas dans les livres, elle
se vit.
Aujourd’hui, Zelensky va avoir besoin d’un million de soldats de métier
aguerris. La France devra fournir sa quote-part. En fait, cela représentera très
peu par pays, à peine 80 000 soldats et cela, selon la population de chaque
pays. Mais ce seront des techniciens, ce seront des commandos aguerris, tandis
que du côté russe, il n’y en a pas un seul qui ait vraiment fait la guerre.
L’OTAN mettra toutes ses nouvelles armes en route, celles que l’on connaît et
celles que l’on ne connaît pas encore.
Si l’on avait fait le nécessaire dès le mois de février, si l’on n’avait pas fait tout
en demi-mesures, il y a longtemps que ce serait terminé. Il en est qui ont voulu
protégé Monsieur Poutine : c’était mal le connaître.
La France, qui est déjà endettée jusqu’au cou, devra dès lors s’endetter encore
plus, et qui paiera la dette ? Ce seront nécessairement les Français.
L’OTAN ne se contentera pas de repousser les Russes à leurs frontières. Elle
frappera très fort, très vite, avec une victoire certaine.
Il ne faut surtout plus attendre que la Russie se réarme. Il faut agir et vite.
Il reste encore un espoir, celui qui, d’ici quelques jours, aura permis à l’Ukraine
de remporter la victoire.

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