Quand plane la mort sur les hommes et sur les économies, on assiste, en fait, à un règlement de compte entre la médecine et la nature.
Quand on a échoué, il faut avoir le courage d’écouter ce que vous dit la nature. Non, on n’a pas tout essayé et loin s’en faut. Praticiens de tout bord, on vous a imposé de ne rien faire avec la réponse du « je ne sais pas ».
La médecine des remèdes et des vaccins a échoué pour la COVID-19 comme pour le cancer. Non, ce n’est pas de l’argent qu’il faut, c’est du bon sens et dans ce domaine, on n’a pas tout essayé. La médecine n’a pas su intégrer les découvertes d’il y a deux siècles. On se contente de soigner mais on n’évite pas avec un vrai plan Marshall pour la vie.
La chaleur, les rayons ultraviolets, le soleil, ont fait leurs preuves.
La régulation des variations des pressions atmosphériques est tellement évidente pour mettre fin au cancer que la médecine en a peur. Elle a peur pour son fonds de commerce. Les laboratoires ne souhaitent que la maladie, ils n’ont rien fait pour l’éviter : ce serait trop simple ! Ce serait mettre fin à leur domination sur l’ensemble du monde financier et politique. Pour l’instant ils ont fait des otages, que ce soient les politiques ou les dirigeants au plus haut niveau.
Un an est passé et rien de sérieux n’a été fait. Le vaccin, ce sera du peut-être et du peut-être pour quelques-uns seulement. Nous sommes en pleine mauvaise foi et le bon sens a disparu.
Dès que quelques jours de beaux temps apparaissent, aussitôt le virus devient inoffensif. Alors, un peu de bon sens tout de même ; ce constat devrait imposer à tout le monde et à tous nos dirigeants de créer quelques jours d’été, immédiatement. Et nous n’avons besoin de rien de plus si ce n’est que de tourner le bouton d’un radiateur. Ce n’est tout de même pas difficile de se chauffer à 30° pendant quelques heures et chaque jour.
Ne pas agir ainsi, c’est un crime envers l’humanité.
On aurait déjà pu éviter deux millions de morts. Que l’on fasse au moins le nécessaire pour en éviter deux millions de plus !
Quant à la régulation des pressions atmosphériques, c’est d’une simplicité telle qu’on ne veut y croire. Allez donc dire cela à ce qui se meurent du cancer et vous verrez ce qu’ils vous répondront : ils sont prêts, eux, à tout essayer car c’est une évidence.
On est actuellement à Cadarache en train de reconstituer des mini soleils pour fabriquer de l’énergie ; ne pourrait-on pas, au moins durant quelques jours, fabriquer de mini soleils artificiels dans nos maisons, dans nos bureaux, etc., simplement avec des radiateurs,
Monsieur le Président de la République, tout ceci vous sera reproché à la fin de votre quinquennat.
Ceux-là même qui vous auront conseillé vous traduiront devant les tribunaux en affirmant que vous n’avez pas fait ce qu’il fallait. Eux-mêmes, d’ailleurs, savaient-ils ce qu’il fallait faire ? En tous cas, ils se sont fait payer grassement.
Mais c’est vous Monsieur le Président qu’on traduira devant les tribunaux et que l’on condamnera pour crime contre l’humanité.