- Je propose un emprunt d’Etat de 360 milliards à un taux d’intérêt de 3% destiné à financer la fabrication d’armes et de matériel nécessaires pour l’Ukraine.
- Je propose que cet emprunt soit cautionné par la grande distribution, par l’industrie alimentaire, par l’industrie pharmaceutique et peut-être d’autres grands financiers.
C’est une manière de faire participer tous les Français en vue d’une paix stable et surtout d’éviter une troisième guerre mondiale.
La Russie restera la Russie mais une autre Russie sans Monsieur Poutine et ses lieutenants.
Elle pourra être mise sous la tutelle de l’OTAN.
D’autre part, dès aujourd’hui, il faut un contingent de 50 000 soldats Français et Européens pour soutenir l’armée ukrainienne.
Si l’Ukraine est durement touchée, la Russie, quant à elle, est au bord du gouffre.
Aujourd’hui, Poutine se sert de soldats coréens et chinois.
Pourquoi l’Ukraine n’aurait-elle pas le droit d’avoir des commandos de la légion étrangère ou de marines, français et européens ?
L’emprunt se fera sur une durée de 5 ans.
Tout participant ou cautionneur pourrait afficher le logo « pour l’Ukraine ».
Mais il ne faut surtout pas qu’un tel emprunt serve à réduire la dette.
Monsieur Trump a trouvé la solution pour faire tourner son industrie :
il vend armes et munitions à l’OTAN qui paye comptant et l’OTAN distribue à l’Ukraine.
C’est un bon commerçant mais, en aucun cas un stratège politique.
Faudra-t-il une guerre ?
Faudra-t-il une guerre pour que tous les Français se mettent au travail et décident de s’équiper pour éviter la fatigue, la maladie et la vieillesse ?
Ceci aurait pour effet de réduire de 50% le coût du social, soit 350 milliards chaque année.
Oui, il faut éviter de perdre nos forces et nos facultés et faire en sorte que le travail ne soit plus une corvée mais un plaisir souhaité.
« Ce Leclerc déraille complètement ! ».
Peut-être moins que ceux qui parlent, qui promettent, mais n’apportent pas de solution concrète malgré l’évidence !
Faudra-t-il une guerre pour prendre conscience que la liberté n’a pas de prix et impose à l’homme de se battre, non pas contre un adversaire humain mais contre une nature assassine ?
