Plus qu’une découverte, un enjeu

Hygée est plus qu’une découverte, c’est un enjeu vital, social économique, sanitaire, philosophique.

  1. Vital : faire durer notre vie jusqu’à 150 ans et plus, et en pleine forme épurée de la quasi-totalité de ses grandes maladies et de ses virus.
  2. Social : vivre dans un monde quelque peu paradisiaque ou quasi paradisiaque, où le temps libre doublera
  3. Économique : on travaillera moins par jour mais beaucoup plus longtemps
  4. Sanitaire : concernant toutes les grandes maladies, la vieillesse, l’espérance de vie
  5. Philosophique : remettre en cause les raisons de l’existence, de la vie, et d’une vie sans vieillesse.

La seule exigence :

  • accepter de vivre dans une norme que la nature désordonne.

Il reste à mettre davantage d’effort pour combattre le réchauffement climatique annoncé et, pour l’instant, sans le moindre désir de donner vie aux déserts pour protéger la nôtre.

On ne fait rien pour stopper la progression des déserts qui nous étoufferont et qui continuent à se développer à raison de 18 m2 à la minute.

On fait beaucoup d’efforts pour se protéger de la pollution, mais pas suffisamment pour le réchauffement climatique, et pourtant, nous recevons des milliards de tonnes de poussières de sable, plusieurs fois dans l’année.

Cela devrait nous alerter.

Mais, comme toujours, on remet au lendemain ce qui pourrait être fait aujourd’hui.

Or, le désordre de la nature n’attend pas : il est vital.

C’est aussi un terrible enjeu.

 

Les techniques au service de l’homme

A quoi serviraient les voyages dans l’espace s’il n’y a plus d’humains sur cette terre pour faire ce voyage ?

Il y a déjà l’avocat pour faire respecter la justice, mais pas toujours.

Il y a le médecin pour nous aider à conserver la vie, sans résultat.

Il y a l’Etat pour assurer les règles et notre liberté, sans résultat.

On a un peu l’impression que l’humanité a failli dans sa présence sur cette Terre.

Elle a utilisé toute une série d’artifices plus ou moins audacieux les uns que les autres.

Aujourd’hui, l’humanité recule sur notre propre existence, sur la vie ; la nature semble la submerger, l’écraser. L’humanité est malade sur tous les plans.

Elle ne vit plus : elle survit. Un jour, c’est une nouvelle maladie. Le lendemain, c’est un nouveau virus. Le surlendemain, ce sont les hommes qui s’entretuent.

Aujourd’hui, la population mondiale, non seulement ne progresse plus, mais elle s’est réduite de 500 millions d’habitants en  moins de dix ans.

C’est un fait. A-t-on fait l’essentiel pour protéger notre vie ? L’alchimie n’y est pas parvenue. Il nous faut revoir notre copie, il nous faut chercher la cause et découvrir les solutions.

Si demain, il n’y a plus d’oxygène dans l’air, il n’y aura plus d’êtres vivants : pas d’oxygène, pas de vie.

Il se trouve que notre corps est constitué de dizaines de milliards de cellules vivantes alimentées en oxygène par 40 000  km de micro vaisseaux.

Porter atteinte à ce circuit, c’est tuer nos cellules

C’est d’abord dans la nature qu’il faut rechercher les causes.

La nature nous apporte la vie et fait tout pour la reprendre.

Et ce sont les dérives des variations des pressions atmosphériques qui provoquent la mort de nos cellules.

L’humain a déjà perdu grand nombre de ses forces physiques et intellectuelles.

Tous les jours, il doit déjà payer son obole pour vivre et cette obole, c’est le 1% de notre système immunitaire qui en est le tributaire.

Autrement dit, chaque année nous perdons 1% de notre vie tant de sa puissance que de son existence.

Aujourd’hui, notre vieillesse commence le jour de notre naissance

Hygée, le régulateur, sera l’exception qui mettra fin à tout ce désarroi. Hygée osera s’opposer aux forces occultes de la nature.

La bataille gagnée, l’homme retrouvera sa liberté de vivre, sa puissance. Il mettra fin à la vieillesse pour un nouveau monde.

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