La vie nous est offerte pour une durée limitée, à ce jour, à une moyenne de 83 ans.
A nous, humains, de neutraliser les causes qui la détruisent afin de vivre plus longtemps dans une qualité de vie optimum et dans l’espérance.
Sans futur, sans intérêt, l’homme devient une chose qui se retrouve dans le filet d’une nature assassine.
Les politiques pensent que la vie est un droit. Alors, dans ce cas, que proposent-ils, quels sont les moyens qu’ils peuvent apporter pour que cela devienne un droit ?
Je leur apporte un moyen, en utilisant notre savoir technique, pour neutraliser les dérives de cette nature sans pour ce faire porter atteinte au travail et au social sous toutes ses formes.
Je veux donner à l’homme une capacité plus grande et plus durable.
Non, la vie n’est pas un droit, pas plus que la souffrance ne soit une nécessité.
En fait, la vie sera ce que l’homme aura choisi, en toute liberté, soit la médecine qui a échoué, soit la technique qui lui évitera de subir les attaques de la nature.
1946 ==> 2025
Après la deuxième guerre mondiale, on a dit « plus jamais cela » et on y a cru. A l’époque, on ignorait qu’il y a avait, depuis des millénaires, une autre guerre perpétuelle, celle que l’on doit mener contre les dérives de la nature.
Bien plus dangereuse, ces dérives font, chaque année, 60 millions de morts sur la planète.
Défendre notre liberté est un choix. Défendre notre vie est primordial.
Que s’est-il passé depuis 1946 ? Le budget de la Défense, à l’époque, s’élevait à 9%, il est de 2%, à ce jour. En 1946, le social représentait 10% du PIB, aujourd’hui, il représente 33% et c’est le travail qui en est le financement, soit un tiers de nos salaires, environ 800€ par mois.
Le « plus jamais cela » voit apparaître à l’horizon les affres d’une nouvelle guerre qui nous contraignent à nous réarmer. Oui, il le faudra mais, aujourd’hui, le budget du social a dévoré celui de la Défense et notre dette s’accumule et croît, jour après jour.
Alors que faire si ce n’est de s’attaquer aux causes qui rendent la France de plus en plus malade ?
Notre dette s’élève aujourd’hui à 3 345 milliards ce qui rend difficile le financement du réarmement.
Réduire les avantages sociaux et le coût de la Sécurité Sociale entraînerait une révolution. Non, la solution est plus simple. Il nous faut neutraliser les causes de la maladie et de la vieillesse, ce qui entraînera une économie de 350 milliards, chaque année.
Ces causes, nous les connaissons et nous savons les réguler, dans la chambre à coucher, pendant notre sommeil. De grands médecins m’ont dit « on n’y a pas pensé ». Nous ne sommes pas sur le bon chemin dans le monde sanitaire.
Plus aucun arrêt maladie, la vieillesse maîtrisée, les grandes maladies supprimées : c’est un autre futur qui s’ouvre devant nous.
Toutes tes propositions, tous les palabres, toutes les promesses, faits, à ce jour, par le gouvernement, ne pourront être tenus. Alors, avons-nous le choix !