Ne pas augmenter les retraites

Ne pas augmenter les retraites, c’est supporter de plein fouet l’inflation.

C’est réduire le pouvoir d’achat des retraités.

Nous avons déjà une guerre en Ukraine.

Nous aurons une révolution en France pour ne pas avoir osé vaincre notre ennemi commun, « les forces de la nature ».

En fait, réduire les retraites ou ne pas les augmenter en temps d’inflation, conduit au même résultat :

la baisse du pouvoir d’achat. Tout ceci est du bricolage.

Il existe une autre solution intelligente qui, au lieu de baisser le pouvoir d’achat, va l’accroître vite et maintenant, sans compter les emplois qu’elle va engendrer en moins d’un an par la construction des régulateurs Hygée ; elle nécessitera plusieurs usines.

Essayons de ne pas être négatif. Préparons notre avenir, augmentons notre intelligence, augmentons notre capacité par notre dextérité. Evitons de perdre toutes nos facultés.

La solution et la seule, c’est Hygée, le régulateur de pressions atmosphériques.

 

Le soutien à l’Ukraine

Non, le soutien à l’Ukraine ne s’érode pas. Et si, avec le temps, il y avait un certain oubli de l’urgence, il faut penser ce que nous deviendrions avec la Russie sur les Champs Elysées.

La relance pour l’Ukraine, c’est Monsieur Macron qui l’a provoquée, et il a raison d’y envoyer hommes, avions, matériels et munitions, sur place, sur le front. Il n’y a pas un seul doute sur cette action.

Français, Françaises, notre devoir doit dépasser nos illusions, nos rêves. Kiev doit occuper  notre pensée à tout moment.

Participons, dès à présent, à la paix que nous aurons pendant 50 ans, après avoir mis fin au régime de Monsieur Poutine.

Arrêtons de pleurer sur les éventuels morts de notre armée. C’est ce métier-là qu’ils ont choisi et ce n’est qu’un grand honneur pour eux.

Ouvrons notre portemonnaie européen pour autoriser les prêts nécessaires pour mettre fin  à cette guerre infâme qui ne dit même pas son nom.

Il ne s’agit pas d’une mobilisation générale, mais si chaque pays européen envoie 20 000 hommes, multipliés par 27, cela fait déjà beaucoup de monde, et ce sont des gens de métier qui compenseront largement le million d’appelés russes.

On n’a pas fait tant d’histoires quand on a envoyé nos troupes en Afrique. C’était déjà un problème russe déguisé en problème djihadiste.

Quand la nécessité s’impose, il faut y aller. Et l’Ukraine l’impose !

 

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