A ce jour, l’Ukraine a réussi à contenir les ambitions de la Russie. C’est déjà un grand exploit. Toutefois, l’occident se doit de continuer à aider l’Ukraine qui s’épuise en hommes et en matériel.
L’occident montre sa fragilité financière mais la Russie est aussi au bord de la révolution.
Où cela va-t-il nous conduire ?
Les Etats-Unis ont une dette de 50 000 milliards de dollars et tentent de taxer le monde entier pour sortir de leur dette comme si elle était due par celui-ci. Les Etats-Unis profitent de leur position dominante pour racketter leurs alliés et affaiblir le monde.
Nous perdons du temps. Pendant ce temps, l’Ukraine profite des faiblesses de l’occident en lui vendant du pétrole et du gaz contre toute décision. On promet tous les jours de nouvelles sanctions mais on n’est pas capable de tenir les anciennes.
Jusqu’à quand l’Ukraine pourra-t-elle contenir l’ours russe ? Avons-nous seulement, nous Européens, la volonté d’éviter toute défaite de l’Ukraine ? Une telle défaite coûterait à l’occident la liberté mais aussi et surtout la fin de tout notre système social.
Alors, il faut choisir entre offrir l’aide à l’Ukraine ou tomber plus bas que terre.
Il faut arrêter de dire…
Il faut arrêter de dire que rien ne va dans cette belle France. Et à quoi servirait de se plaindre, car personne ne nous plaindra ? Les trains roulent, l’électricité ne manque pas. La nourriture est en abondance. Le luxe n’a jamais si bien fonctionné.
Alors, qu’est-ce qui ne va pas ? :
- Notre santé est de plus en plus déficiente
- Il en découle un travail qui ne produit plus autant que nécessaire
- Le coût du social n’a pas sa place sur le travail et affaiblit son potentiel et sa compétitivité
- Le coût du social dévore 33% de notre salaire, soit 800€ en moyenne par mois
- La maladie, la vieillesse, écrasent les bonnes volontés de chacun
- Notre industrie peine à avoir des salariés compétents et à être compétitive
- La technique va plus vite que notre formation professionnelle
- La médecine ne s’attaque pas aux causes évidentes de la nature : on soigne mais on n’évite pas
- Dans ce contexte, on dépense plus que l’on ne produit, accroissant ainsi la dette
- Ceux qui disent que tout va mal, en détruisant tout espoir, n’ont aucune solution à proposer
- Certes, il y a trop d’immigration mais c’est le fonds de commerce de certains ; elle n’est pas la cause de tous nos maux, loin s’en faut. C’est l’arbre qui cache la forêt.
La solution se trouve dans la régulation des dérives de la nature. Moins de maladies, une vieillesse maîtrisée, et l’on résoudra nos besoins de main-d’œuvre et la totalité de nos déficits.
Le plus grave est que l’on sait ce qu’il faut faire et comment il faut le faire. L’incrédulité sera vaincue, tôt ou tard, balayée par l’évidence.
Arrêter le feu évitera d’appeler les pompiers. Tout peut être résolu en moins de 20 ans et progressivement. Arrêtons de démolir la France et les Français.
