L’immigration : une loi, une cause

Il faut reconnaître que la loi qui vient d‘être votée et qui n’a pas encore traversé la barrière du Conseil Constitutionnel, ne servira pas à grand-chose.

Mettre des murs physiques ou virtuels n’a jamais servi à quelque chose.

Il suffit de se rappeler la ligne Maginot, le mur de Berlin, la clôture entre le Mexique et les États-Unis et bien d’autres.

Les murs, comme les lois, sont faits pour être contournés, par-dessus, par-dessous, de côté.

Les vrais problèmes de l’immigration sont :

  • Nous avons besoin de main-d’œuvre, et encore davantage dans les années à venir
  • La solution est chez eux et non ici.

Ne pensez-vous pas que l’argent dépensé pour empêcher l’immigration clandestine pourrait servir à d’autres causes à la source ?

Et pour ce faire, c’est un plan Marshall qu’il faut mettre en place pour les Africains afin de créer les emplois sur place.

Et cela commencera par la lutte contre le désert.

Il faut savoir que, même sans APL, que sans avantages sociaux ou familiaux, ils gagnent, en Europe, 4 à 5 fois plus que chez eux.

Et pour eux, c’est déjà le nécessaire pour nourrir leurs enfants en envoyant de l’argent au pays.

Pour ce faire, il faut aussi que l’on accepte de faire rentrer en Europe une partie des produits fabriqués ou cultivés en Afrique.

J’ai eu l’occasion, en son temps, de rencontrer un leader du syndicat des agriculteurs, au Sénégal, et il m’avait dit :

« aidez-nous à créer une ligne de transport à 4 voies :

deux destinées au tourisme et deux au transport à grande vitesse pour nos marchandises, et nous conserverons tous nos enfants ».

Une ligne TGV s’impose entre Paris et Johannesburg en passant par la côte ouest de l’Afrique.

On est déjà à Rabat, il faut poursuivre cette ligne.

L’Afrique ne pourra vivre que de ce qu’elle produit et de ce qu’elle possède pour le tourisme.

Il va falloir un investissement de 1 000 milliards de dollars mais,  là encore, c’est très peu par rapport à ce qui nous attend.

L’Afrique a besoin de l’Europe mais l’Europe a aussi besoin de l’Afrique.

Redonner vie à l’Afrique et à ses déserts est la seule solution réelle à l’immigration.

Aucune loi ne permettra de résoudre ce problème. Il faut le résoudre à la source.

 

Défendre la vie, défendre la liberté

Notre premier pouvoir d’achat, c’est la vie, mais pas n’importe quelle vie : celle qui nous a été confiée et que nous bradons chaque jour.

Nous sommes complices des causes qui entravent notre existence. Quand on prend une assurance, on se doit de se conformer aux clauses du contrat. Quand il s’agit d’une assurance, on trouve cela normal. Mais quand il s’agit de se conformer au cahier des charges de notre vie, on a peine à le réaliser.

On estime que la vie est une machine quelconque qui nous est due, sans contrepartie. Mais notre vie répond à des règles fondamentales qui sont les constantes auxquelles nous devons nous conformer.

La vie n’est pas un « machin » mais une machine qui fonctionne au micron près. Nous jouons toujours avec notre vie. Nous croyons pouvoir tout nous permettre.

En fait, la vie a horreur des changements, des variations de toutes sortes, pour le bon fonctionnement de ses cellules ainsi que de la circulation continue du sang porteur d’oxygène. C’est cet oxygène qui assure la vie des cellules et qui, par défaut, meurt en provoquant une substance nocive et délétère, seule cause des cancers.

Protéger sa vie n’est pas une mince affaire et ce, dès la naissance. C’est aujourd’hui possible et indispensable.

Défendre sa vie, c’est aussi défendre sa liberté contre tous ce qui l’accable. Et, aussi curieux que cela paraisse, l’ennemi réel provient de la nature qu’il nous appartient de réguler.

 

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