L’essentiel, c’est, avant toute autre considération, la protection de la vie et le prolongement de cette vie, le tout en pleine forme.
Les Russes, les Américains, les Chinois, la négligent.
Pendant ce temps, nous, Français et Européens, nous allons la prolonger de cent ans supplémentaires, en pleine forme, à l’abri des grandes maladies et de la vieillesse.
Ces deux dernières proviennent des variations des constantes de notre vie.
- Oui, si à présent nous savons maintenir la vie à une moyenne de 83 ans, demain, nous allons la prolonger à 180 ans.
- Oui, on sait y apporter des solutions sans toucher à 1 mm2 de notre corps.
- Est-ce un coup de force, un coup de génie ou un coup de bon sens ?
C’est tout simplement le bon sens et le constat qui m’ont conduit à cette découverte et mon statut d’ingénieur à réaliser les techniques nécessaires pour y parvenir.
Nul ne pourra le contester.
Je veillerai aussi à ce que nul ne puisse, en aucun cas, en détourner l’intérêt.
Comme toujours, un certain nombre de personnes chercheront à spéculer.
Bien sûr que tout a un coût mais cet appareil, qui vous fera vivre, coûtera 3 à 4 fois moins cher que l’achat d’une voiture.
Celle-ci n’est qu’un bien limité dans le temps mais assujetti à des capacités visuelles et auditives.
- Oui, la vie, c’est l’essentiel.
- Ne la négligeons pas.
- Protégeons-là.
Il ne suffit pas de proposer
Il ne suffit pas de proposer, faut-il encore réaliser ce que l’on propose, seul ou en équipe.
Il y a des idées que l’on croit folles aujourd’hui mais qui seront évidentes demain et, comme toujours, ils seront nombreux à s’exclamer « c’était évident ».
On n’est pas nombreux à avoir le plaisir de la découverte.
De plus, en France, l’argent est un frein et nuit à l’intérêt des Français d’abord.
Une réforme s’impose pour que la découverte ne soit pas un gouffre d’argent dû à l’administration, pour la plupart, pour le dépôt des brevets et des marques ainsi que pour les délais.
Le gouvernement français devrait faciliter la tâche pour tous ceux qui ont la chance de découvrir.
Et je répèterai la phrase du Général de Gaulle « je préfère un qui trouve que cent qui cherchent.».
Je ne demande pas de subvention à l’Etat mais je ne souhaite pas non plus que l’Etat ne devienne un frein par incrédulité.
