Les monopoles (suite)

Après avoir cassé trois monopoles, je veux, à présent, mettre fin au monopole de la médecine sur notre vie.

La médecine est devenue  le pourvoyeur, non pas de drogues, mais de médicaments :

y a-t-il seulement une différence ?

Il n’est pas question pour moi de mettre en cause les médecins mais ceux qui les empêchent de travailler et de remplir leurs fonctions normales.

A chaque fois qu’ils cherchent et trouvent, ils sont massacrés par le Conseil de l’Ordre.

Notre vie n’a pas à être guidée par la  cupidité des laboratoires qui demandent toujours plus d’argent, qui font de la publicité pour s’accaparer des héritages.

Je trouve cela scandaleux.

Les laboratoires fabriquent des drogues de toutes sortes, autorisées bien sûr, au lieu de chercher les causes qui tuent l’homme dès sa naissance, et ces causes sont souvent naturelles ou, tout du moins, proviennent des dérives de la nature.

Toute maladie a une cause, la vieillesse a une cause.

Et on s’aperçoit que les trois quarts des décès proviennent d’un problème de circulation du sang.

Cette circulation peut être interrompue, bloquée, par un phénomène naturel que sont les variations des pressions atmosphériques.

En France, on va pouvoir sauver 300 à 400 000 personnes chaque année et 4 à 5 millions d’autres Français qui en subissent les conséquences.

Il m’a fallu inventer un mécanisme pour mettre fin à ce gâchis.

Il est possible que d’autres personnes feront mieux que moi, mais pour l’instant, je suis le seul au monde à le faire.

Quel orgueil, allez-vous me dire !

Non, pas de l’orgueil : une fierté.

Bien sûr qu’il restera toujours des morts par accident, par la dévastation provoquée par la fureur des éléments, par les suicides ou encore par des meurtres.

Et demain, c’est par la révolte de la nature et du climat que l’on mourra.

Il faut donc tout faire pour éviter l’un et l’autre.

Pour notre propre vie, ce sera le régulateur de pressions atmosphériques, pour le climat, ce sera de remettre en cultures les déserts.

Doubler le temps de vie, en pleine forme, sans maladie, sans vieillesse désastreuse, est à présent mon combat et comme à chaque fois que je me suis attaqué à un monopole, j’y parviendrai même si cela peut déplaire à quelques professions.

En fait, il suffisait d’y penser mais il faudra peut-être ajouter un additif à la formation des médecins à qui on ne parle jamais de la fureur de la nature.

 

Contre toute attente, l’inflation s’envole

On nous annonçait une stagnation de l’inflation et, aujourd’hui, tout s’envole.

Les bonnes intentions s’envolent, la réalité nous rappelle à l’ordre.

Après l’envolée des prix de l’énergie, c’est l’envolée du ticket de métro multiplié par deux.

Si l’on fait l’addition des trois dernières années et de l’année 2024 qui arrive, ce n’est plus une inflation de 20% mais de plus de 30% que le peuple de France devra assurer.

Bien sûr, cela fait le bonheur de tous ceux qui ont un emprunt mais, à partir de 60 ans, on ne fait plus d’emprunt, on vit avec ses ressources et ses économies.

Mais, ces économies-là auront perdu 30% de leur pouvoir d’achat.

L’Etat n’est pas dupe, c’est toujours cela de moins de remboursement de la dette.

Et ne pinaillons pas pour 1 ou 2% car, avant la fin de ce quinquennat, on sera à près de 50% d’inflation.

On pourrait tout de même se poser la question du pourquoi.

Au risque de me faire détester, je dirai que la France ne produit plus rien, elle assemble certains éléments et les usines qu’on nous annonce, ne sont que des usines d’assemblage.

On ne produit plus rien à partir de minerais, ce qui fait que la plus-value est d’autant plus faible puisque les éléments d’assemblage, il faut les acheter.

Il va nous falloir réindustrialiser la France, non pas en faisant des usines d’assemblage, qui sont nécessaires, certes, mais en fabriquant les produits à assembler.

Il faut redonner à la France sa force et sa puissance.

La Banque Mondiale avait annoncé une croissance pour cette année de 2,1%.

Hier, elle a revu sa position, ramenant la croissance à 0,8% pour l’année 2024, faudra-t-il encore l’atteindre.

Ne baissons pas les bras.

Nous avons à présent un moyen tout simple, tout naturel qui permettra de redonner aux Français la force physique et intellectuelle en évitant de perdre toutes nos facultés au cours des ans ainsi qu’en protégeant notre défense immunitaire.

 

 

 

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