Le talent est une richesse que l’on reçoit à la naissance

Le talent nous est donné : il doit donc servir l’intérêt général avec une prime pour celui qui va le développer.

Trop de talentueux s’en servent pour faire fortune sans avoir, pour cela, beaucoup travailler. Et cela se termine souvent très mal.

Le talent ne se développera pas sans la participation de moins chanceux mais travailleurs. Si le talent est un cadeau de la vie, le travail est l’outil qui donnera au talent sa grandeur.

Il en est de même pour quelques visionnaires qui, comme leur nom l’indique, permettent d’anticiper tout ce que sera demain si l’incrédulité ne vient pas barrer le chemin à prendre.

En France, il est difficile de faire  le tri.

A nous tous d’obtenir que le talent serve à la France pour qu’elle redevienne une étoile dans le monde. Et le monde suivra.

 

Ne pas confondre aider et assister

Aider est temporaire, assister est une déchéance.

Le Français veut vivre de son travail, un travail qui ne doit pas être dégradé par une machine sociale qui n’a pas sa place sur le travail d’autant plus que le système est différent dans tous les pays du monde. Ceci fausse la valeur du travail.

Aujourd’hui, on n’aide plus les Français, on veut les mettre dans une situation d’assistanat qui déshonore le travail.

Les Français veulent un système durable et pérenne. Ils veulent avoir la possibilité d’avoir un futur assuré.

Le travail aboutit à une production qu’il faut vendre, soit à l’exportation, soit à la consommation intérieure. Il faut donc que le produit du travail ne soit pas une variable d’un pays à l’autre.

C’est pourquoi je demande que le social soit l’affaire de l’Etat et non celle du travail. Il faut que celui qui bénéficie de ce social participe à son financement à la hauteur du possible de chacun.

Le chômage que l’on va reconstituer en demandant aux Français de se restreindre n’est que la conséquence du peu de vente à l’exportation par absence de compétitivité et de consommation intérieure par un pouvoir d’achat dégradé.

Exporter plus, consommer plus, par une baisse massive des prix est le critère d’une bonne économie.

 

 

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