Le surhomme

Avec ma découverte, il ne s’agit pas de faire de l’homme un surhomme mais de lui donner le moyen de refuser la vieillesse, la maladie, le désespoir.

En donnant la possibilité de conserver et de développer toutes nos facultés physiques, vitales et intellectuelles, durant toute une vie, nous obtiendrons une vie qui pourra être très longue et en pleine forme.

La guerre que je mène contre l’incrédulité sera longue :

se battre contre les dérives de la nature en maintenant nos constantes vitales. Car les dérives des constantes sont dévastatrices.

J’ai passé ma vie à casser des monopoles ; ce fut long mais victorieux.

Ces combats constituent aujourd’hui une jurisprudence.

C’était toujours contre des puissants que j’ai mené cette guerre.

Aujourd’hui, je me bats pour la vie en régulant et en appliquant ses principales constantes.

La machine humaine est la plus performante qu’il soit au monde.

Ce sont nous qui ne savons pas la protéger et demain on dira :

« si  j’avais su, j’aurais utilisé l’évidence que propose Michel Leclerc avec Hygée le régulateur de pressions atmosphériques. ».

Il n’est pas un seul chercheur, un seul médecin, qui puisse me dire le contraire.

La médecine a beaucoup fait en soignant, l’évidence que je propose fera encore plus en évitant d’avoir à soigner.

C’est pourquoi j’ai fait appel à Hygée, la déesse de la santé et du bien-être, pour développer le régulateur que je propose.

 

Cela fait des millénaires

Oui, cela fait des millénaires que l’on se laisse détruire la santé par une nature en dérive avec des conséquences vitales sur des milliards d’êtres humains.

C’est dès notre naissance que le combat commence d’une manière insidieuse, en tuant nos globules blancs, jour après jour, et en perdant ainsi nos petits soldats de protection et ce, pendant près de 100 jours par an.

Quand les circuits de distribution d’eau dans la ville gèlent, il n’y a plus d’eau et les conduites éclatent.

Quand les pressions atmosphériques atteignent 1040 millibars au niveau de la mer, ce sont nos artères, qui se ferment sous la pression et qui n’alimentent plus en oxygène nos cellules vivantes.

C’est toujours la nature qui est la cause de ces maux.

Pour tous ces problèmes, il faut protéger les conduites qu’elles soient d’eau ou de sang.

Tout ce qui existe aujourd’hui dans la médecine, c’est de soigner les conséquences des dérives de la nature.

Le bon sens veut simplement qu’on évite d’avoir à soigner.

C’est malheureusement le chemin qui a été pris depuis des millénaires :

on soigne mais rien n’est fait pour neutraliser les effets néfastes de la nature.

 

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