A partir du moment où les Iraniens ont la capacité intellectuelle et technologique pour fabriquer une bombe, le problème des centrifugeuses est vraiment secondaire.
Reste à savoir d’ailleurs si elles ont été réellement détruites et ce qu’ils en feraient réellement.
Nous n’avons pas la même conception du temps entre occident et orient.
Deux ou trois ans chez eux ne représentent que quelques minutes pour nous.
L’important est d’avoir avec l’Iran de nouvelles relations, avec les mollahs ou pas.
La roue tourne pour tout le monde.
Il suffit d’avoir du temps.
Et ce n’est pas avec les armes que les Perses ont fondé leur notoriété d’antan.
Seule, la concertation, la diplomatie, peuvent résoudre ce problème de l’Iran et d’Israël.
L’occident a pris une avance dans la technologie mais pas nécessairement dans le savoir ou le savoir-faire.
L’Iran, descendant des Perses, était un vaste empire qui allait de l’Inde à l’Egypte.
Certes, l’empire a disparu mais les capacités du savoir et du savoir-faire n’ont pas disparu.
Et ce n’est certainement pas avec une bombe, quelle qu’elle soit, qu’on empêchera l’Iran d’avoir sa bombe atomique.
L’entourage de Monsieur Trump qui, comme des sauterelles, tente de cacher la vérité, ne durera que le temps d’une sauterelle.
Monsieur Trump a bien compris que si l’on détruit ses centrifugeuses, l’Iran en fabriquera d’autres.
Et cela ne lui causera pas de déficit comme dans tous nos pays.
Elle a de l’argent, et beaucoup d’argent dans son sous-sol.
Monsieur Trump est parfois fantasque mais il est loin d’être idiot.
Je vois d’ailleurs que les contacts entre l’Iran et les Etats-Unis sont rétablis.
Les Etats-Unis n’ont pas la même haine qu’Israël envers l’Iran.
Il faut se souvenir qu’il y a déjà plus de 2 000 ans, c’étaient les Perses qui avaient provoqué l’exode du peuple juif.
Le futur donnera raison à la diplomatie.
La chaleur et l’oxygène de l’air
Les molécules d’oxygène se déplacent plus rapidement sous l’effet de la chaleur et deviennent beaucoup moins efficaces.
Qui dit oxygène trouble, dit respiration difficile et oxygénation du sang encore plus difficile, ce qui conduit à une oxygénation difficile des cellules.
On dit que lorsqu’il fait très chaud, il faut boire beaucoup d’eau pour compenser la qualité de l’oxygène. C’est tout notre corps qui est en danger et surtout sur les plus faibles d’entre nous. Les nourrissons y sont très sensibles.
Là encore, ce sont les variations de nos constantes qui sont mises en cause.
Les solutions sont impératives, elles nécessitent de boire beaucoup d’eau et, si possible, de se mettre à l’abri par des climatiseurs.
On en revient toujours au même problème qui est d’éviter avant d’avoir à soigner gravement.
