Serait-il possible que le Président de la République, Monsieur Macron, ait trouvé un Premier Ministre qui pourrait mettre en œuvre l’aspect économique et social de la France de demain ?
Est-ce une corde gaulliste du Président ! Serait-il possible que ce Premier Ministre gaulliste puisse développer simultanément notre économie et notre pouvoir d’achat par des solutions réalistes, évidentes, de bon sens ?
Je crois que seul un Ministre gaulliste pourrait nous apporter la solution. Devant l’immense difficulté qui va se présenter à lui dès le mois de septembre, il serait utile d’apporter à l’avance, dès cet été, la seule solution économique qui permettra un social qui ne sera contesté par personne.
Résoudre simultanément la difficulté sociale du chômage et du pouvoir d’achat par une production accrue et par une exportation multipliée par trois, relève d’une volonté exceptionnelle pour un résultat exceptionnel.
Comme en médecine, l’économie est mathématique. Eradiquer tous les cancers économiques de la France nécessitera de prendre des risques considérables. Mais il n’y a pas d’autres solutions. Oser franchir cette montagne donnera à la France et aux Français un avenir assuré pour eux et pour leurs enfants dans un climat social apaisé mais aussi dans un cycle de vie en pleine forme permettant un travail accru de plus de 20 %.
C’est un nouveau monde qui attend notre Premier Ministre. Puisse-t-il appliquer la voix du gaullisme et surtout appliquer son concept : accroître la productivité afin de faire face à la mondialisation et être à l’égal de la Chine.
Ce que je propose, c’est déjà 20 % de réduction de tous les prix. C’est aussi plus de 20 % d’accroissement de la productivité et c’est encore plus de 20 % par la qualité et la durabilité de nos produits.
Les circonstances actuelles ne permettent aucun mouvement social. Et, pour l’éviter, il est préférable de prendre les devants en supprimant le chômage et en éradiquant le cancer économique de notre France. Aujourd’hui, nous vivons totalement à crédit. Ce crédit ne pourra être remboursé que par notre travail, mais un travail souhaité et non imposé.