Le pétrole russe, nécessaire mais pas indispensable

En France, nous avons tous les moyens pour nous passer du pétrole.

On s’en est bien passé durant des siècles. Aujourd’hui, c’est l’électricité non stockable qui conduit à l’utilisation de l’hydrogène stockable et transportable.

Ne commettons pas d’erreurs avec les éoliennes et les panneaux solaires qui ne produisent que par intermittence et dont l’énergie produite ne peut être stockée.

D’autre part, les KW produits par les éoliennes et les panneaux solaires sont plus chers que les KW produits par le nucléaire. Mais il s’agit d’un nucléaire produit par les mini centrales proches des zones d’utilisation, ce qui évitera toute perte de charge. Ne revenons pas à la lampe tempête !

Et le pétrole, c’est aussi du passé, un passé qui a créé notre dépendance.

Et aujourd’hui, on commet la même erreur, par facilité : on fait fabriquer nos produits indispensables par l’étranger et par intérêt financier. Est-ce la solution ou la cause de nouveaux maux ? Des maux qui vont bafouer notre liberté.

Oui, la liberté a un prix et, au lieu de s’ingénier à la recherche d’un prix bas, il me paraît plus sérieux de s’ingénier à produire chez nous, moins cher, en transférant les charges sociales sur le budget de l’Etat.

Ce transfert sera  largement financé que ce soit par nos exportations, que ce soit par l’augmentation de la consommation intérieure et par l’économie des charges sur les fonctionnaires. A cela s’ajoutera la fin  des cancers et des virus, naturellement, par le bon sens, ce qui économisera encore 200 milliards l’année.

Toujours dans le but de financer le social, la suppression des maladies entraînera aussi la fin des heures et des jours d’absence payés par la Sécurité Sociale et qui représentent chaque année plus de 100 milliards.

Il ne nous reste plus qu’à espérer que le nouveau gouvernement ait le courage et la force d’imposer une telle révolution. Notre liberté en dépend.

 

 

Prolonger la vie

Prolonger la vie, dans des conditions physiques désastreuses, comme actuellement, n’est pas une bonne solution.

Ce que je propose, par mes inventions et mes constats, pour la fin des cancers et des virus, c’est de vivre en pleine forme en conservant notre système de défense immunitaire, toute notre vie. Ce n’est pas un rêve, ce sera une réalité, d’ici 10 à 15 ans.

Le travail sera aussi une arme de bien-être, en pleine forme, plus longtemps et jusqu’à 80 ans et plus.

Ma solution permettra aussi une retraite dans des conditions dignes et heureuses et durera deux fois plus longtemps qu’aujourd’hui, heureux d’avoir, des enfants, des petits-enfants et des arrière-petits-enfants.

La vie sociale va être totalement changée, les relations au travail ne sera plus un conflit permanent mais une entente pour mieux faire, pour mieux apprendre et être payé pour son travail et non en fonction des critères d’âge ou de relations. Notre système de salaire, en fonction de l’âge, est contraire à l’intérêt de tous, intérêt économique et bien-être.

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