Quel va-t-être la faille qui va me permettre de mettre fin aux monopoles des Conseils de l’Ordre et de l’OMS ?
Oh ! On va dire: un minus vient mettre son grain de sable là où il ne faut pas. Mais c’est exactement ce qui a déjà été dit quand j’ai cassé le monopole des pompes funèbres, le monopole des prix des carburants et le monopole de la distribution automobile en France. J’ai gagné à chaque fois, certes, après 1 600 procès.
Le monopole de la santé, c’est le monopole de l’enfer, c’est le monopole de l’anti-santé.
Oh ! Je n’accuse point les chercheurs à qui l’on demande de faire de l’argent.
Les pharmaciens ont été plus intelligents ; ils ont fait de leurs officines des supermarchés et se sont mis à pratiquer des prix plus compétitifs. C’est à eux qu’on devrait donner la légion d’honneur parce qu’ils ont osé ; ils ont parfaitement organisé leur dispositif.
La fin du monopole dans le sanitaire viendra par les erreurs commises par l’Ordre des Médecins ou par l’OMS
En effet, je dirai, comme le Professeur Raoult : on ne peut pas leur en vouloir car ils ne savent pas. Ils ne sont pas au niveau.
Il faudra, une fois pour toutes, laisser aux médecins, à qui on a donné un diplôme, le temps de poursuivre leur mission selon le serment d’Hippocrate. Et ils sont des centaines de milliers en France qui n’attendent que ce moment-là, ces médecins qui ne peuvent pas se révolter car on leur supprimerait leur inscription à l’Ordre des Médecins, voire on les mettrait à l’asile.
En conclusion, viendra l’heure de vérité et de liberté, et nous y arriverons.
L’État sera obligé de s’incliner comme je l’ai obtenu pour les autres monopoles et, en même temps, sera libéré car, aujourd’hui, il n’est qu’un otage entre les mains des scientifiques.