Le doute est plus ravageur que la peur

La peur est passagère, le doute persiste longtemps. Aujourd’hui, on est dans la peur passagère couplée d’un doute qui perdure. Il perdurera faute d’éradication des causes et faute des solutions efficaces définitives.

A tout cela vient s’ajouter la crainte de l’insécurité. Tous ces ingrédients réunis sont explosifs et pourraient conduire à la guerre civile qu’il faut éviter, coûte que coûte, n’est-ce pas, Monsieur le Président !

Le doute de la police, le doute de l‘armée, le doute du pouvoir d’achat, le doute de l’éducation, le doute de la formation… On ne sait même plus dire bonjour ni merci ; tout devient un dû qui tombe du ciel, et encore, on y met un doute et ce doute-là est justifié.

Depuis cinquante ans, on rêve, on espère, et ce sont souvent des espérances déçues ; même notre civilisation est mise en doute. Nous mettons en doute notre religion par des religions venues d’un autre monde et d’une autre civilisation. Et nous sommes soumis à cette loi parce qu’on l’a voulu. La loi islamique est l’antithèse de la religion judéo-chrétienne et, en France, personne la combat, elle a droit à l’existence nous dit-on… Oui, mais pas dans la même civilisation.

Il n’y a pas deux poids, deux mesures, la loi impose nos règles, nos lois, et cela est valable pour tous, pour tous ceux qui veulent vivre en France.

Si l’on met le petit doigt dans le chantage, c’est le corps entier qui passera à la catastrophe. En acceptant l’islam en France, on a fait une erreur de jugement. Mais on l’a accepté par intérêt, et seulement par intérêt financier.

Quand on va dans les pays musulmans, on doit se plier à certaines règles, les règles de ces pays. Alors, les musulmans qui sont en France, s’ils se plient à nos règles et à nos lois,  pourront y rester sinon ils devront retourner chez eux. Ceci me paraît être d’une logique évidente.

Que l’on aide les pays africains pour le développement, est une chose, mais supporter leurs lois en France, en est une autre.

IL COURT, IL COURT, LE FURET

On court après les conséquences du virus et c’est le virus qui court plus vite encore. A fin mai, le soleil aura balayé les virus mais ce coup de balai ne sera que de 80%, car les  20% restants iront s’abriter au froid… et ils se remettront à courir au mois d’octobre.

Tout ceci me paraît normal mais l’éradication du virus dans sa tanière n’est pas à l’ordre du jour. Aujourd’hui, c’est trop simple, trop efficace et cela semble être un système établi de conserver le virus sans l’éradiquer ; personne ne s’est même posé la question.  On a une permission de quatre mois et on reperdra notre liberté au mois d’octobre.

On a pris l’habitude que tout ce qui dérange le système se poursuive tranquillement. C’est ainsi que notre attitude commerciale vis-à-vis de la Chine se poursuit tranquillement au détriment de notre économie …mais on en a pris l’habitude, alors il faut qu’elle perdure.

Les frontières avec ce pays totalitaire sont bien gardées, mais les frontières commerciales sont ouvertes à tous vents. La Chine est aujourd’hui un pays fort qui achète nos avions et nos trains pour mieux les copier. Et l’on en a pris l’habitude sans s’inquiéter des ravages que ce système provoque. Je crois que le furet a encore une belle vie devant lui devant l’insolence et le refus des Français et de l’Europe d’éradiquer

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