La voix de la France et son écho

La voix de la France  doit de nouveau résonner dans les montagnes qui nous entourent et nous devons en recevoir et en entendre les échos.

Ce sont :

  • montagne sanitaire
  • montagne écologique
  • montagne sociale
  • montagne économique
  • montagne de nos exportations
  • montagne industrielle
  • montagne qui nous renvoie l’écho de la compétitivité
  • montagne de la sécurité par la dissuasion militaire et le plein emploi
  • montagne immigration ; que ceux qui ne s’y trouvent pas bien retournent soient renvoyés dans leur pays d’origine.

Tout commence par la vie, par la santé, par les moyens d’éradiquer les virus. Tout comme de réguler les pressions atmosphériques pour le cancer.

Pour gravir ces montagnes, il va falloir compter sur nous, sur le peuple sur son travail, sur notre fabrication, sur notre modèle social. Qui doit être quelque peu rénové en impliquant l’État pour son financement et non sur le travail. Pour parvenir à la compétitivité, il faut libérer le travail des charges qui l’écrase et faire financer le social par l’État.

Le travail, avec un corps en pleine forme n’est plus un devoir mais une volonté de chacun.

Si la France traverse une mauvaise passe que l‘on pourrait appeler déclin, elle a tout pour faire résonner notre voix au pied des montagnes. Montagne écologique qui  nous conduira à franchir les tabous si nous ne voulons pas être grillés par la chaleur des déserts.

La recherche, sûrement, le bon sens pour innover, pour découvrir en se servant de la nature comme antidote. Le médical d’aujourd’hui est déjà tributaire des découvertes mécaniques et électronique ainsi que des découvertes électromécaniques.

Pour parvenir à la compétitivité, il faut libérer le travail des charges qui l’écrase et faire financer le social par l’État.

Le travail, avec un corps en pleine forme n’est plus un devoir mais une volonté de chacun.

Si la France traverse une mauvaise passe que l‘on pourrait appeler déclin. Elle a tout pour faire résonner notre voix au pied des montagnes qu’il va falloir gravir, jour après jour. Tout ça en supprimant tous les monopoles et les privilèges.

Le seul, en France, qui peut prendre tous les risques sanitaires dans l’intérêt des Français, c’est le Président de la République. Il n’est pas soumis, durant son exercice, aux poursuites judiciaires.

L’AUTORITÉ NE SE DÉCRÈTE PAS ET NE SE RESTAURE PAS

L’autorité se déploie par celui qui l’inspire ; la France n’est pas en déclin.

C‘est simplement le déclin de ceux qui voudraient organiser les privilèges et de  tous ceux pour qui la France n’est qu’un moyen de s’enrichir au détriment du plus grand nombre.

La France, dans l’histoire, a eu des chefs ou des rois, plus ou moins capables, plus ou moins compétents. L’avantage de la République, c’est de pouvoir se rénover sans subir le poids de la durée des monarques. Nous changeons de pouvoir tous les cinq ans et nous pouvons choisir celui qui inspire l’autorité par sa compétence et pas ses résultats antérieurs.

L’autorité de l’homme qui saura remettre en cause nombre de dérives, l’homme qui saura prendre des risques, je dirai même « l’homme à risques » devra symboliser notre Président. Toute réforme, toute application de découverte nécessité une partie de risque. Et plus on va dans le futur, plus il sera nécessaire de prendre des risques.

Bien souvent, c’est la nature qui nous en donnera la solution.

L’homme s’est cru plus fort que la nature. Il a parfois les moyens de réguler ses dérives. Néanmoins il doit surtout profiter de tous les avantages et des solutions qu’elle nous apporte.

Le travail permettra de bien vivre, voire de s’enrichir mais, en aucun cas, au détriment de l’homme.

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