Nous allons l’appelée : le réacteur social. Pourquoi ?
La notion de TVA est négative parce qu’elle implique un accroissement de l’impôt, que ce soit la TVA mais aussi la CSG , et l’on ne construit pas l’avenir par l’impôt.
L’avenir se construit par le travail et par l’investissement. Il faut donc accroître l’un et l’autre. Pour accroître le travail, il est nécessaire de pouvoir vendre le produit ou le consommer par les marchés intérieur et extérieur. L’impôt ne peut être qu’une partie de l’aboutissement du travail.
La notion de réacteur social propulsera notre économie, notre pouvoir d’achat, vers un meilleur social.
La mondialisation nous l’impose. L’impôt est toujours difficile à faire accepter par la population et le monde syndical.
Le carburant du propulseur social sera le travail.
Un travail purifié, déchargé de toutes les cotisations qui sont négatives pour produire d’une manière compétitive et pour pouvoir exporter.
Produire d’une manière compétitive c’est permettre de baisser massivement les prix et donc d’accroître le pouvoir d’achat. Nous pourrons, dès lors, exporter dans un monde où les prix sont devenus aberrants, et ils sont devenus aberrants parce qu’il s’agit d’une compétition dans laquelle on a oublié l’homme. On voudrait en faire une machine et l’homme, c’est autre chose qu’une machine ; il construit la machine pour lui faciliter la tâche.
Produire mieux et moins cher, compte tenu de la baisse du coût du travail, permettra de supprimer le chômage, tout simplement par un surcroît de travail.
J’ai déjà eu l’occasion de lister tous les avantages d’un système social financé par l’État.
Redonner vie à la nation n’est pas une mince opération. Redonner vie à toute la jeunesse en lui donnant du travail, c’est l’avenir que l’on construit.
C’est tous ensemble que nous parviendrons à redresser notre situation actuelle. On nous dit que la dette, ce n’est pas important. Mais la dette, il faut la rembourser tôt ou tard, même s’il faut cinquante ans.
Le travail purifié de la pollution des charges est semblable au remplacement des produits carbonés par l’hydrogène. C’est une manière comme une autre d’apporter un renouveau au climat. Il est vrai qu’il ne peut y avoir de bonnes économies sans une bonne santé.
Le réacteur social, c’est du gagnant/gagnant.
En produisant davantage à moins cher, on pourra surtout vendre beaucoup plus et consommer plus.
Le réacteur social, c’est l’ouverture vers l’avenir, c’est l’ouverture pour notre entrée dans la mondialisation. D’autres pays ont réussi par l’exportation ; il nous faut faire basculer notre balance commerciale dans le positif.
Aujourd’hui, nos dirigeants ont misé sur l’hydrogène mais qu’est-ce donc que l’hydrogène si ce n’est d’un carburant débarrassé de tous ses produits carbonés ? Le réacteur social ne fonctionnera qu’avec un travail débarrassé de toutes les cotisations sociales.