Qu’on le veuille ou pas, à partir du moment où l’on a interconnecté tous les pays du monde, avec nos moyens modernes, on a créé, inévitablement, la mondialisation.
Les gouvernements n’y sont pour rien : ils la subissent.
Et l’homme, que devient-il dans tout ce fatras ? A-t-il encore sa place ? Bien sûr que oui, mais l’homme doit se protéger et participer à cette mondialisation.
Le mixage des civilisations est une bonne chose, sous réserve que l’on n’oublie pas l’essentiel : la vie et le combat nécessaire contre les dérives de la nature.
On aurait pu croire que tous les humains souhaiteraient cette mondialisation. Ce n’est pas le cas : il y a ceux qui profitent, il y a ceux qui subissent. Et le fossé entre les deux continue de se creuser.
Il suffit de voir Monsieur Trump, aux Etats-Unis qui pense que l’argent est le maître du monde. L’argent est nécessaire mais n’est qu’un outil, parfois plus ou moins bien utilisé.
Aujourd’hui le monde entier consacre plus de 7% de ses ressources pour tuer, pour détruire. Je demande qu’on se serve de 10% de ces 7% pour que l’homme puisse vivre dans un autre monde, quelque peu paradisiaque et très longtemps, et en pleine forme.
Arrêtons l’hécatombe des dépôts de bilan
C’est spécialement dans la production des fortes consommations, tel le textile, le petit matériel, que ces entreprises sont en difficulté.
La cause principale en est le coût du social dans sa branche sanitaire et pour la retraite.
Vivre en pleine forme et d’une manière compétitive ne peut s’obtenir qu’en combattant les éléments de la nature qui nous détruisent.
Mener ce combat à l’échelon mondial, c’est économiser, chaque année, 35 000 milliards sur le coût du travail et 350, rien que pour la France.
J’ai longtemps pensé que l’on pouvait transférer ce coût sur les Etats, ce que j’appelais la TVA Sociale. Après bien des réflexions, j’ai choisi de faire disparaître ce coût en éliminant ces dépenses.
C’était si simple qu’on n’y a pas pensé. Et c’est toujours ainsi, ce sont les choses les plus simples qui permettent de grandes révolutions.
En supprimant les charges, on mettra fin à l’hécatombe des entreprises. Supprimer les charges, parce qu’on en n’aura plus besoin. Vivre plus longtemps, c’est le souhait de toute personne, à condition que ce soit en pleine forme avec toutes ses facultés.
Hygée le régulateur mettra fin à ces coûts.
L’homme a bien compris qu’il fallait un radiateur pour se chauffer. Il faut qu’il comprenne qu’il faut un régulateur pour mettre fin aux grandes maladies dont la cause provient des variations de nos constantes, piliers de notre vie.
Car les dérives des constantes de la nature sont la cause de toutes les grandes maladies.
