La mondialisation actuelle est une farce

Développer une mondialisation sans utiliser des avantages sociaux identiques
est une farce.
Les coûts des produits que nous fabriquons en France et en Europe sont
inaccessibles sur les marchés mondiaux. Nous en subissons les conséquences
par un manque d’exportation à raison de 100 milliards chaque année.
Protéger ses salariés est une nécessité mais certainement pas en réduisant la
valeur de leur travail par des ponctions sociales. Le social, c’est l’affaire de
l’Etat et de personne d’autre. Tout le monde en profite, tout le monde doit
payer, dans la mesure de ses moyens.
Les deux pays les plus concurrents sont les Etats-Unis et la Chine. Comment
faire une mondialisation avec des pays où le social n’est pas payé par les
salaires ?
Que ce soit la Chine ou les Etats-Unis, le système social est différent : en Chine,
c’est l’Etat qui paie le social en le rendant gratuit pour tous. Aux Etats-Unis, le
social est payé par chaque salarié, non pas sur son travail mais sur ses revenus,
chacun paie son assurance, chacun paie ses garanties sociales.
En France, le travail est devenu la vache à lait du social et le financement du
social est toujours déficitaire. Alors, on prend des mesures que le peuple ne
veut pas. C’est trop facile pour nos dirigeants de ponctionner le travail des
salariés.
Le résultat, c’est qu’on produit de moins en moins en Europe et on accroît une
dette exponentielle. Nous avons choisi la solution de facilité.
Il suffirait simplement de changer le système de financement du social pour
que nous puissions prendre place dans la mondialisation. Aujourd’hui, ce n’est
pas possible. Aujourd’hui, on achète en Chine, on achète aux Etats-Unis avec
des balances commerciales désastreuses : cela ne pourra pas durer longtemps.
On tue la production et ce seront les salariés qui en supporteront les
conséquences.
La mondialisation d’aujourd’hui est faussée et profite d’une manière
scandaleuse aux Etats qui n’utilisent pas le travail pour payer le social.
La mondialisation s’est faite par la liberté du commerce mais la mondialisation
a oublié l’homme.

 

Comment un milliard d’Européens et d’Américains

Comment un milliard d’Occidentaux peuvent-ils avoir peur d’un Poutine avec
seulement sa horde de 144 millions d’individus asservis ?
Tout recommence comme en 1939. Aujourd’hui, c’est l’Ukraine, demain matin
ce sera la Moldavie, puis la Pologne, puis la Roumanie.
Faudra-t-il récréer la résistance comme l’a fait le Général de Gaulle, pour
reconquérir notre liberté ?
Ce ne sont pas des paroles qu’attend l’Ukraine, mais des chars et des avions,
avec nos soldats, nos mécaniciens, nos pilotes, nos conducteurs de chars.
Quand la Russie sera à nos portes, on fera comme le Maréchal Pétain, on
signera un armistice.
Mais tous ceux qui sont aux commandes aujourd’hui n’ont jamais connu la
guerre ; ils s’amusent pendant qu’en Ukraine des milliers d’hommes donnent
leur sang pour notre liberté.
On dirait que ces armes qu’attend l’Ukraine appartiennent à nos dirigeants
mais c’est le peuple qui les a payées, mais c’est le peuple aujourd’hui qui
applaudi Zelensky partout où il passe, y compris par les représentants du
peuple. On croirait que nos dirigeants, ou prétendus dirigeants, agissent sans
penser au peuple alors qu’ils ont été élus par le peuple.
A défaut de renfort d’hommes sur le front, alors, qu’on ait le courage de leur
donner le matériel nécessaire, c’est tout ce que demande Zelensky.

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