La chance n’est pas au rendez-vous de Monsieur Macron et de son gouvernement

L’affaire McKinsey, si affaire il y a, vient s’ajouter au rebond du Covid 19 que l’on n’a pas voulu éradiquer.

L’affaire McKinsey montre à quel point Monsieur Macron n’a pas de chance, mais aussi qu’il n’a pas confiance dans les fonctionnaires qui l’entourent.

Être contraint de se servir d’un cabinet extérieur aux Services de l’État devient inquiétant. Et quand on apprend que les mesures émanent   de ce cabinet dans le cadre du Covid (en fait, la vie privée des Français), et ce, sans résultat probant, on peut se poser la question de savoir pourquoi avoir tant de fonctionnaires et en aussi grande quantité.

Monsieur Macron agit seul et « paie » pour savoir avec l’argent de l’État, et les conseils scientifiques ont défendu  leur fonds de commerce et n’ont rien résolu pour demain.

Monsieur Macron n’a pas de chance ou peut se tromper, mais pas de grâce pour autant car il n’écoute pas et ne cherche pas à vérifier le bien-fondé de ceux qu’ils n’écoutent pas.

Ce qui est simple lui échappe et il cultive la complexité et l’anti naturel propres à son orgueil. Non, Monsieur Macron n’a pas de chance.  Les gilets jaunes, les grèves, le Covid, les affaires , finiront-ils  par l’exclure du pouvoir ?

Je veux aussi mettre fin au monopole de l’EDF

L’EDF n’aura plus le monopole de la production des KWh que vous utilisez chaque jour et qui vous permettent  de rouler avec de l’hydrogène et ce, avec un prix divisé par 10, dans les 10 prochaines années à venir : c’est possible aujourd’hui.

Le duel carburant carboné et hydrogène va finir par sonner la mort du monopole de production  de l’EDF. Les SMR   (petits réacteurs  nucléaires de 50 à 170 mégawatts) permettront à tous les industriels de produire leur propre énergie nucléaire.

Les villes, les communes, pourront aussi s’équiper de petits SMR : plus de lignes à haute tension, plus de transformateurs, plus d’éoliennes, le paysage pourra retrouver sa virginité.

Tout comme dans mes combats pour la liberté des pompes funèbres, du prix des voitures, de celui des carburants, je sais que l’on va essayer de me massacrer.

C’est ma mission d’obtenir la fin de ce monopole et de l’ajouter à mon palmarès, et j’en suis fier, avec celui de l’arnaque du sanitaire.

Merci à tous

À une inflation galopante internationale

A une inflation galopante internationale qui pourrait atteindre 15 à 20 % d’ici fin 2023, il faut opposer une déflation nationale de 20 % sur tous les prix des produits et des services.

Résultat : plus de pouvoir d’achat de l’ordre de 20 %, davantage d’exportations grâce aux prix compétitifs, plus de production, plus d’achats, davantage d’impôts sur les revenus en raison d’un salaire qui aura progressé de 20 %.

Pour ce faire, nous devons transférer les charges sociales et patronales sur le budget de l’État. Le social sera l’affaire de l’État avec plus de CSG payée par tous et non seulement  par ceux qui travaillent. 

Ceci entraînera aussi une baisse sur les charges salariales des fonctionnaires à raison de 40 %. 

Le pouvoir d’achat s’envolera tout en entraînant une baisse du coût de tous les produits et de tous les services.

Une inflation entraînera inévitablement une hausse des taux d’intérêts de l’ordre de 5 à 6 % ainsi qu’une  baisse d’autant  sur les économies de tous les Français qui ont placé leur argent.  L’inflation due aux achats extérieurs à la France provoque une réaction en chaîne sur tous les produits que nous consommons. 

L’aide  sociale dont bénéficient près de 2 millions d’étrangers en situation illégale, devra être supprimée. 

La cause du réchauffement climatique doit aussi être considérée comme une charge sociale que nous allons éradiquer en remettant en culture les déserts. 

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