Il faut donner au nucléaire un label bio

C’est impossible, me direz-vous.

Mais que faut-il faire pour que le nucléaire à partir du thorium puisse revêtir l’habit du bio ?

  1. ramener le risque à zéro
  2. mettre en place des Sublimator à hydrogène à 2 700° afin de changer l’état des déchets et avec l’absorption du rayonnement nucléaire par un faisceau de rayons lasers.

Dire que c’est impossible est faux.

Produire de l’énergie à un prix du KW divisé par dix changera notre problème économique et permettra de doubler l’utilisation des KW produits en triplant, voire quadruplant le potentiel d’utilisation énergique par la suppression des pertes de charge.

Pour produire  un litre d’hydrogène, il faut cinq KW. Diviser le prix du KW par dix, c’est aussi divisé le coût du litre d’hydrogène par dix.

Pour donner un autre costume au nucléaire, nous avons dit qu’il fallait supprimer les risques.

C’est pourquoi je propose le thorium à utiliser dans des mini centrales de 150 à 300 Mégawatts installées auprès des sites de consommation.

Nous allons avoir besoin de doubler, voire de tripler, le potentiel national d’énergie électrique suite au développement de la voiture électrique, du chauffage à l’électricité.

N’est-ce pas la solution au  problème climatique et à la pollution ?

thorium

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.