Financer la recherche contre le cancer

Financer la recherche sur le cancer est devenu une pure affaire financière car cela dure depuis 50 ans, sans résultat.

On ne résoudra pas un problème de vie avec des médicaments qui plus est, n’existent pas en ce qui concerne le cancer ; on arrive à prolonger la vie mais on n’évite pas les causes et on n’en stoppe pas le développement.

On n’a pas encore bien compris que, pour résoudre un problème, il faut aller à la source.

Tout le monde est d’accord pour dire que la cause des cancers provient des cellules mortes qui émettent une substance nocive et délétère  conduisant à la construction des cancers.

Restait à démontrer ce qui pouvait tuer les cellules. La nature a ses qualités mais aussi de grands défauts et c’est elle qui tue les cellules, aussi étonnant que cela paraisse, du fait des variations des pressions atmosphériques.

Elles causent la rupture de la circulation du sang et privent les cellules d’oxygène.

La plus grande gangrène du monde, c’est toujours de demander de l’argent et sans avoir de résultat probant.

Oser demander de faire don de ses biens pour la recherche, me fait penser aux religieux qui demandaient la même chose pour une entrée au paradis !

Priver nos cellules d’oxygène,

  • c’est anéantir la production de globules blancs,
  • c’est anéantir tous les liquides nécessaires (insuline, synovie, liquide cérébrospinal), nécessaires au fonctionnement de notre corps.

C’est aussi oublier que notre cœur n’est constitué que de cellules : les priver d’oxygène, c’est aussi les anéantir.

Cela conduit aux crises cardiaques ou aux AVC.

Pour éviter tout cela, Hygée le régulateur s’imposera mais il faudra du temps, non pas pour s’en équiper, mais pour vaincre l’incrédulité qui a toujours considéré la médecine comme une science occulte et souveraine.

De surcroît, ce que je propose fera économiser 100 milliards par an à la Sécurité Sociale…

 

L’Ukraine, une crise de Généraux

Ce n’est pas d’aujourd’hui que l’on voudrait être au-dessus de son maître.

Maintes révolutions ont été causées par des capitaines. Ils ont oublié qu’ils étaient au service de l’Etat, de la nation, et non de leur intérêt personnel.

Le Président Zelenski a démis son Général des Armées, et c’est le moins qu’il puisse faire car j’estime que les paroles de ce dernier étaient une trahison.

Même s’il existe quelques difficultés, ce n’est pas aux Généraux d’en faire part à la population et au monde.

Ils sont là pour faire leur boulot et rien d’autre.

L’ambition fait aussi partie des grandes maladies.

L’Ukraine doit gagner et doit mettre à la tête de son armée un sang neuf.

Le Général démis était peut-être un bon militaire en temps de paix, mais en temps de guerre, le silence est roi.

Il est tel un soldat félon qui n’a probablement pas pris en considération ses paroles comme une trahison.

De tous temps, il y a eu des traîtres, qui  ne se considéraient pas comme tels, d’ailleurs, mais qui causaient des dégâts immenses.

Ce sont tous unis que nous devons aider l’Ukraine, dans l’armée comme dans les pays occidentaux ; rien ne doit permettre à l’adversaire de se réjouir.

Plus que jamais, il faut donner à l’Ukraine les armes et les munitions pour vaincre un ennemi proche de la folie.

Ce n’est pas l’Ukraine qui est en cause, c’est le monde entier, y compris l’Afrique qui n’a pas compris que Poutine cherche son intérêt et qu’il est loin de penser au bien-être des Africains.

 

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